Marine Naine

De La Bibliothèque Impériale
Révision datée du 18 mars 2023 à 00:16 par Un ostlandais égaré (discussion | contributions) (Soutien aérien)

Les Nains préfèrent, dans l’ensemble, le sous-sol à la surface et évitent autant que possible de se retrouver sur l’eau. Beaucoup considèrent la mer comme le domaine des Elfes, et, en tant que tel, ce n'est pas un endroit approprié pour un nain correct. Il n'y a certainement aucune trace de nains prenant la mer dans des navires propulsés à la rame et à la voile car ils n'ont aucun talent naturel en tant que marins.

La création de machines à vapeur suffisamment grandes pour alimenter des navires en fer a cependant changé tout cela. En faisant flotter le fer et en dirigeant leurs navires sans dépendre de la marée ou du vent, les Nains ont le sentiment d'avoir conquis la mer et prouvé la domination de la terre sur l'eau. De plus, ils ont, à leur propre satisfaction, prouvé que tout ce que les Elfes peuvent faire, ils peuvent le faire mieux.

Les navires à vapeur ont ouvert le commerce nain aux océans du monde et ont contribué à ce que, partout dans le Vieux Monde et au-delà, il y ai de fortes chances de trouver des nains, curieux d'entendre des nouvelles des Montagnes du Bord du Monde et désireux de goûter une bière naine épaisse.[1]

Barak Varr est une forteresse exceptionnelle qui abrite la flotte naine. Seul le fleuve Crâne la relie en effet au reste de Karaz Ankor. Cette voie fluviale qui court du Golfe Noir à la Vieille Route des Nains, jusqu’à Karaz-a-Karak n’a rien de sûre puisqu’elle traverse l’est des Principautés Frontalières et s’approche donc dangereusement des grandes routes d’invasions des Peaux-Vertes. Les princes humains de la région ne valent d’ailleurs, bien souvent, pas beaucoup mieux que des bandits. Le Golfe Noir n’est pas non plus un havre de paix : les Peaux-Vertes et les Skavens ont l’un et l’autre attaqué Barak Varr par mer.[2]

Barak Varr abrite une partie de la guilde des ingénieurs connue sous le nom d'Ingénieurs des Mers. Cette organisation est spécialisée dans la construction des grands navires cuirassés pour lesquels Barak Varr est célèbre. Dans cette spécialité, aucun Ingénieur au monde ne peut prétendre rivaliser avec ceux de Barak Varr. Il y a quelque chose dans des machines aussi vastes qui fascine les ingénieurs les plus mégalomanes et il n'y a nulle part ailleurs dans Karaz Ankor où de telles prouesses techniques sont possibles ou requises.

Ironiquement, la capacité des Nains à traverser les océans du monde doit beaucoup aux Elfes. Aucun nain ne l'admettrait, mais sans cartes précises, peu importe la puissance de son vaisseau. Au sein de Barak Varr, les Nains maintiennent leur Livre des Cartes. Alors qu'à l'origine, il s'agissait peut-être d'un seul tome, il s'agit maintenant davantage d'une bibliothèque. La plupart des cartes qui s'y trouvent ont été achetées à des marchands tiléens, mais les premières cartes, celles qui ont rendu la navigation possible, auraient été pillées aux Elfes pendant la Guerre de la Barbe. Ces cartes ont épargné aux nains la tâche fastidieuse d'exploration ; au lieu de cela, ils ont toujours su où ils allaient.[1]


Équipage

Capitaine

Les nains ont une parfaite maîtrise de la technologie de la vapeur comme du travail des métaux et leur flotte en est le reflet. Leurs navires sont de massives embarcations blindées couvertes de motifs baroques en fer forgé. Manœuvré par des marins et des ingénieurs expérimentés, chaque navire transporte de nombreuses pièces détachées permettant d'effectuer des réparations, ce qui les rend virtuellement incoulables. Les nains marins ne sont pas très nombreux dans le Vieux Monde, mais leurs prouesses technologiques compensent largement leur infériorité numérique. Avant d' être autorisé à commander un navire, un capitaine nain doit prouver sa valeur aussi bien en tant qu'ingénieur qu'en tant que guerrier. Il lui faut connaître tous les secrets de la Guilde concernant les types de navires nains et apprendre le Livre des Armements ainsi que le Livre de la Mer dans leur intégralité. Ces grands tomes reliés avec des ferrures sont écrits en glyphes secrets et transmis à tous les membres de la Guilde des Ingénieurs des Mers. Le Livre des Armements traite des armes et des machines de tous les navires nains jamais construits. Le Livre de la Mer contient toutes les cartes et tout le savoir maritime que les nains ont accumulé au fil des siècles. Ce n'est que lorsqu'il aura prouvé sa maîtrise des Livres que le capitaine pourra connaître les codes runiques permettant l'ouverture des écoutilles des navires nains.[3]

Ingénieurs

Les ingénieurs nains sont des maîtres dans leur art et sont particulièrement habiles pour réparer leurs machines. Ces individus pessimistes mais extrêmement doués peuvent faire des miracles sur les chaudières ou les roues à aubes avec leur trousse à outils et trois pièces de rechange. On peut trouver les ingénieurs dans les endroits les plus improbables des navires, effectuant des vérifications et des ajustements de dernière minute. Durant les batailles, ils réalisent des exploits, rampant sur le pont du navire, au milieu du feu ennemi pour réparer leur vaisseau. Chaque navire a son équipe d'ingénieurs qui le réparera et l'entretiendra aussi longtemps que· celui-ci restera à flots et continuera à être manœuvré par l'équipage.[3]

Bâtiments

Pour contrer toutes les menaces, les Ingénieurs des Mers de Barak Varr ont développé un éventail de bâtiments de guerre allant des petites Canonnières qui patrouillent les fleuves aux formidables Léviathans et sous-marins qui assainissent le Golfe Noir. Tous les bâtiments de guerre Nains partagent des caractéristiques communes. Ils sont tous équipés de machines à vapeur qui propulsent le navire par l’intermédiaire de roues à aubes. Les Nains s’affranchissent ainsi presque complètement des hasards du vent. La destruction de la roue à aubes ou de la machine paralyse bien sûr le navire. Les bâtiments de guerre Nains sont lourdement blindés afin de soutenir le feu ennemi mais aussi les collisions. Tous sont équipés de bélier. L’équipage est de même parfaitement protégé des éléments extérieurs. On ne peut pénétrer dans un navire qu’en empruntant une des nombreuses écoutilles scellées. Enfin, les canons de ces navires sont toujours montés dans des tourelles mues par un système hydraulique qui peut les orienter dans presque toutes les directions.

De récents rapports indiquent que la flotte de Barak Varr comprend 3 Léviathans, 6 Cuirassés, 6 sous-marins Nautilus, 18 Monitors et au moins 30 Canonnières. Tous les canons de la flotte sont servis par des canonniers Nains tout aussi compétents que leurs collègues terrestres.[2]

Canonnière

Pour protéger la voie fluviale vers Karaz Ankor, les Ingénieurs de Barak Varr ont mis au point en 2205 une Canonnière à vapeur blindée, capable d’escorter les péniches en tout point du fleuve. Elle est propulsée par deux petites roues à aubes, placées sur chaque flanc, la machine à vapeur étant implantée en plein milieu du navire pour simplifier la transmission de l’effort vers les roues.

En plus de leurs missions d’escorte, les Canonnières patrouillent sur les fleuves - le Crâne, la Sanglante et la Hurlante - à la recherche des pirates et du moindre signe d’accroissement de l’activité des Peaux-Vertes. La flotte fluviale de Barak Varr compte une trentaine de Canonnières. L’équipage comprend généralement un ingénieur naval, un autre ingénieur, un canonnier et deux à trois combattants embarqués.

Les Canonnières sont généralement armées d’un tromblon d’affût à chaque extrémité. À l’avant, le trou d’homme du canonnier offre un abri solide à son servant. Il est inclus dans une plate-forme orientable qui lui confère un arc de tir de 180°. Le tromblon arrière est monté sur une plate-forme capable de couvrir les 360°, mais qui n’offre qu’un abri léger au canonnier. Quand l’opposition le justifie, le tromblon d’affût de la poupe peut être remplacé par une petite bombarde ou un mortier.[2]

Monitor

Le type Monitor est le plus ancien modèle de la flotte Naine, inauguré par les ingénieurs et les architectes navals de Barak Varr en 1152. Ils patrouillent seuls dans l’estuaire de la Sanglante et en pleine mer par groupe de trois. Les Monitors sont armés d’une seule tourelle de deux canons, un canon tempête et un canon de marine standard. La cheminée de la machine à vapeur limite la rotation de la tourelle à 270°. Aux canons de la tourelle s’ajoutent de deux à cinq canons de marine sur chaque flanc. Le Monitor est propulsé par une seule roue à aubes à l’arrière.[2] Ils transportent moins de carburant que les Cuirassés et ne peuvent donc pas naviguer aussi loin: on les observe rarement en dehors du Golfe Noir et de la mer de Tilée.[1][1]

Le cœur des flottes naines sont les escadres de Monitors. Les Monitors sont conçus pour opérer en groupes, pilonnant l'ennemi à distance avant de l'éperonner. Les humains prétendent que les nains se sont inspirés des Galères impériales, mais en réalité, c'est le contraire qui est vrai. Bien que les flottes aient obtenu des victoires décisives, la Guilde des Ingénieurs persiste à considérer les sciences nautiques comme un domaine secondaire. En conséquence, les équipages sont souvent intrépides, recherchant la moindre opportunité de prouver leur valeur et d'améliorer ainsi leurs références au sein du Livre des Armements. Les équipages des Monitors sont réputés pour leur obstination à foncer sur l'ennemi à toute vapeur afin de l'éperonner.[3]
Cuirassé Nain

Cuirassé

Fierté de la flotte naine, ces grands navires à vapeur équipés de roues à aubes vomissent une épaisse fumée noire et sont couverts de lourdes plaques de blindage. Chaque Cuirassé possède de nombreuses tourelles pivotantes contenant d'énormes canons. Chaque Cuirassé est manœuvré par les nains d'un seul et même clan. Au fil des années, ils réparent et améliorent le navire, ajoutant quelques modifications, transformant les systèmes de contrôles et écrivant leur propre chapitre, concernant leur vaisseau ses armes et son histoire, dans le Livre des Armements. Chaque équipage est fier de son navire et convaincu qu'il s'agit du plus formidable vaisseau de combat flottant sur les mers. La conception des Cuirassés rappelle celle des Monitors. Le succès de ces petits navires a conduit les nains de la Guilde des Ingénieurs à améliorer leurs réalisations. Le Cuirassé est le résultat magistral de nombreuses années de labeur incessant, l'objectif étant la création d'un navire de guerre supplantant ceux de toutes les autres races. Les amiraux nains ont le sentiment que le Cuirassé remplit ce critère sans le moindre problème, étant probablement le plus robuste vaisseau existant.[3]

Les premiers Cuirassés ont été inventés en 1812 à Barak Varr par des ingénieurs majoritairement issus du clan Corniche. Plus lourdement blindés que les Monitors, ils sont propulsés par deux roues à aubes jumelles sur les flancs. Ce dispositif leur permet de virer beaucoup plus rapidement que les bâtiments à voiles ou à rames des autres puissances maritimes. Les cuirassés arborent deux grandes tourelles à l’avant et à l’arrière, armées chacune de deux canons tempêtes. Deux tourelles plus petites, placées à l’avant de la passerelle et au-dessus de celle-ci, abritent chacune un canon de marine. Chaque flanc recèle enfin quatre canons de marine. À ces armes lourdes, s’ajoutent encore des balistes et des tromblons d’affût dissimulés sous des écoutilles. Ces balistes sont souvent utilisées pour fixer d’épais cordages aux navires de bois ennemis qui peuvent être alors abordés ou détruits à loisir.[2]

Léviathan ou Dreadnought

Les Léviathans sont les plus grands et les plus puissants bâtiments de guerre Nains. Propulsés par trois grandes roues à aubes, une sur chaque flanc et une plus grande à l’arrière, ils patrouillent dans le Golfe Noir et la Mer du Sud. L’armement principal du navire est constitué par quatre grandes tourelles, deux à l’avant et deux à l’arrière, armées chacune de deux canons tempêtes. Deux tourelles plus petites sont placées au-dessus de la passerelle armée, chacune, d’un canon de marine. Chaque flanc abrite en plus quatre canons de marine et cinq canons tempêtes.[2]

Le Léviathan est le plus grand navire de la flotte naine. Certains diraient même que c'est le plus puissant vaisseau des mers. Tout comme le Cuirassé, sur le schéma duquel il est basé, c'est un bâtiment. Là s'arrête la ressemblance. Ce navire transporte plus de canons qu'une escadre de Monitors, a des plaques de blindage épaisses de plus de 30 cm, des machines permettant une vitesse incroyable pour sa taille et embarque de plus un équipage nombreux.

Les Léviathans ont une machinerie unique qui relie les chaudières aux roues à aubes latérales et à l'énorme roue de l'arrière, ce qui leur procure une vitesse très élevée pour des navires de cette taille. Ce système rend également le Léviathan très difficile à stopper car ses roues à aubes doivent être toutes détruites pour le contraindre à s'arrêter. La puissance de feu d'un Léviathan est extraordinaire et les légendes racontent que ces immenses navires de fer ont bloqué et détruit des flottes entières de pirates dans le Golfe Noir et au large de l'île de Sartosa.

Les roues sont blindées de plaques de fer, ce qui fait qu'elles peuvent encaisser d'énormes barrages d'artillerie. Les tourelles pivotantes peuvent être pointées de tout côté. Ainsi équipés, les Dreadnoughts sont une puissante addition à la flotte naine car ils peuvent fournir des tirs d'artillerie dévastateurs contre n'importe quelle cible, qu'elle se situe à l'avant, sur les cotés ou à l'arrière.[4]

Les Léviathans sont de véritables forteresses flottantes, avec un énorme canon à tourelle, bien plus grand que tout ce que l'on peut voir sur terre. Il y a eu très peu d'ingénieurs suffisamment qualifiés pour construire un Léviathan et le coût même les empêche d'être construits en nombre. Les plus grands rois de Barak Varr ont marqué leurs règnes en commandant un Léviathan et chacun est une merveille mécanique sans précédent dans le monde. Le mérite de la conception du premier Léviathan revient au légendaire ingénieur Hengist Cragbrow et tous ceux construits depuis sont redevables de sa vision.[1]

Sous-Marin Nautilus

Le Nautilus se comporte en surface comme n’importe quel autre navire à vapeur. Il est équipé de deux tourelles, à l’avant et à l’arrière de sa tour. La tourelle avant abrite un canon tempête et la tourelle arrière un canon de marine. Le Nautilus n’est pas propulsé par une roue à aubes mais par deux hélices jumelles. Il est indissociable des torpilles à ressort dont il est armé et qui ont été inventées en même temps, en 2488 par Mungrun Marteau d'Acier.

C’est sa capacité à naviguer sous l’eau sur de petites distances qui fait la force du Nautilus. Quand il refait surface, il doit y rester un certain temps pour reconstituer sa réserve d’air et évacuer les fumées de ses chaudières. Quand un Nautilus très endommagé plonge, il y a un certain pourcentage de chance pour qu’il ne remonte jamais. Sous l’eau, le Nautilus conserve une certaine capacité offensive. Quatre tubes à torpilles, deux sur chaque flanc, peuvent tirer vers l’avant. Chacun contient une torpille à ressort. Tout le monde sait que les Nains (ceux de Norsca exceptés) détestent l’eau.

Le recrutement des équipages de sous-marins est un problème permanent pour les commandants de la marine Naine. Il est bien connu que ceux qui s’embarquent sur ces engins sont presque aussi fous que des Tueurs. De fait, les Nains de Barak Varr qui s’estiment déshonorés peuvent choisir de rejoindre l’équipage d’un Nautilus plutôt que de prêter le serment des Tueurs. Le taux de perte important de cette branche de la marine est ainsi compensé par cette source relativement stable de volontaires.[2]

Mungrun Marteau d'Acier, le constructeur du premier Nautilus, était l'ancien apprenti de Hengist Corniche. Il était déterminé à se faire un nom et, incapable d'égaler les créations de son maître, il a construit quelque chose de complètement différent à la place. D'autres Nautilus ont été construits depuis, mais à bien des égards, c'est une invention qui était et est toujours en avance sur son temps. Mungrun a disparu en accompagnant une expédition de corsaires estaliens en Lustrie dans son Nautilus. Ensemble, ils espéraient explorer et piller la légendaire ville engloutie de Chupayotl. Les Estaliens avaient cherché la ville pendant des générations sans succès, mais l'ont trouvée avec l'aide de Mungrun. De toute évidence, Mungrun avait accès à des cartes indiquant la route de la ville. La tragédie du dernier voyage de Mungrun est qu'un seul membre de son équipage est jamais revenu à Barak Varr. 30 ans après le départ de l'expédition, un nain fou a été libéré des rames d'une galère arabienne. Il a été reconnu par un parent comme étant l'un des marins de Mungrun. Il ne parlait que de grands yeux noirs et de griffes palmées. Malgré cet exemple salutaire, l'attrait des nains pour l'or est tel que ce n'est qu'une question de temps avant qu'un autre grand marin nain se lance dans cette aventure.[1]

Soutien aérien

Les nains sont une race d'inventeurs, ils aiment les machines et tout ce qui touche à la technologie. La puissance militaire des flottes naines ne se limite pas aux navires classiques comme les Cuirassés ou l'ingénieux Nautilus: ils utilisent également des aéronefs à vapeur qui tirent et bombardent leurs adversaires du ciel. Bien que la plupart des nains soient beaucoup plus à l'aise sur la terre ferme, ils recherchent constamment à prouver que leurs machines peuvent maîtriser tous les éléments, que ce soit sous l'eau ou dans les airs.

En accord avec leur nature, les nains ont des forces aériennes bien structurées, même si ceux qui les rejoignent sont considérés comme quelque peu "têtes brûlées" par la plupart de leurs frères qui sont généralement plus que conformistes sur ce genre de sujets sensibles.

  • Les Gyrocoptères nains sont de petits aéronefs à vapeur. Ils sont organisés en escadrilles de trois appareils et sont conduits par les meilleurs pilotes nains. Les gyrocoptères sont très maniables mais fragiles. Ils sont principalement utilisés comme force d'interception, détruisant les troupes aériennes ennemies avant qu'elles n'attaquent la flotte naine.
  • Le Ballon des nains est une énorme enveloppe pleine d'hydrogène à laquelle est suspendue une nacelle blindée. Malheureusement, l'hydrogène est très inflammable c'est pourquoi, comme pour le Nautilus ou le gyrocoptère, l'équipage d'un ballon n'est composé que de volontaires. Le ballon est propulsé par un moteur à vapeur monté sur la nacelle. La fumée s'échappe d'un tuyau laissant des volutes derrière l'appareil. Le ballon peut descendre ou monter en changeant le volume de gaz du ballon et peut s'orienter grâce à des volets. Il peut se déplacer dans toutes les directions excepté contre le vent, mais il est d'une piètre maniabilité. Son armement est de deux types : un arsenal offensif composé d'une soute à bombes sous la nacelle et un arsenal défensif composé d'un canon Gatling.[4]

Sources

  1. 1,0, 1,1, 1,2, 1,3, 1,4 et 1,5 White Dwarf juillet 2005 (#307 au Royaume Uni) pages 47
  2. 2,0, 2,1, 2,2, 2,3, 2,4, 2,5 et 2,6 Warhammer JdR V1 - Nains, Pierre et Acier
  3. 3,0, 3,1, 3,2 et 3,3 Man O'War - Livre de règles
  4. 4,0 et 4,1 Man O'War - Extension Mer de Sang