Sorcière de Glace

De La Bibliothèque Impériale
«Il y a bien longtemps, nombre de clans Gospodars vivaient dans la Steppe Sans Fin. Comme aujourd’hui, il s’agissait d’une vaste province battue par les effroyables énergies du Chaos. Les Gospodars étaient assaillis par toutes sortes d’ignobles adversaires, et les Dieux-Démons leur offrirent une trêve s’ils acceptaient de courber l’échine et de les vénérer. Mais les Gospodars constituaient un peuple obstiné. Contrairement aux tribus voisines, les Kurgans, les Hungs et les Norses, ils ne cédaient pas aux menaces. Au contraire, ils se tournèrent vers d’autres Dieux, des Dieux capables de les protéger de la souillure venue du nord, du moins l’espéraient-ils. Le plus important d’entre eux était Ursun l’Ours, qui leur enseigna l’art de survivre aux hivers glaciaux, de combattre le Chaos et de respecter les esprits de la terre. Mais même avec l’aide d’Ursun, la situation des Gospodars était désespérée.»
«C’est alors qu’un grand esprit, qui s’appelait «la Veuve Vénérable», «Kislev» ou simplement «la Terre», murmura à l’oreille d’une prêtresse-chamane Kislevite. Il lui promit de grands pouvoirs si elle jurait de s’emparer d’un lointain royaume glacé où il avait été emprisonné par les dieux-démons. La chamane, qui voulait désespérément aider son peuple, accepta sans hésiter et reçut en retour le pouvoir de l’hiver. Avec l’aide de la Veuve Vénérable, elle maîtrisa rapidement ses nouveaux pouvoirs et les utilisa pour rassembler ce dont elle avait besoin pour tenir sa promesse. Bientôt, elle avait réuni les divers clans Gospodars en un seul peuple et s’était placée à leur tête en tant que première reine-khan. Ceci fait, elle emmena son peuple avec elle et entama sa quête du pays de la Veuve Vénérable
«Après des siècles de massacres dans la Steppe Sans Fin, une descendante de la reine-khan mena les Gospodars au-delà des Montagnes du Bord du Monde. Là, stupéfaite, elle découvrit une immense plaine enneigée qui palpitait d’une énergie magique glacée. Elle s’effondra immédiatement à terre et versa des larmes gelées, car elle savait que sa quête avait finalement abouti. À l’époque, beaucoup de femmes savaient désormais manier la magie du froid de la reine-khan et quand les Gospodars firent résonner leurs cors de guerre, les autochtones (les Ungols, les Roppsmenns, les Ostermarkers et les Ostlanders) n’eurent pas une chance contre eux. Les Gospodars déferlèrent des montagnes et fondèrent une nouvelle nation sur les terres de ceux qu’ils avaient conquis. Leur reine-khan, Shoïka, devint la première Tsarine du Kislev.»
«Aujourd’hui, bien des siècles plus tard, celles qui pratiquent l’ancienne magie du froid des légendaires reines-khans sont connues sous le nom de Sorcières de Glace, et notre pouvoir n’a pas été émoussé par le temps.»
Militsa Lushadoch Gmelin, Sorcière de Glace


«Quand on parle des sorcières de glace, les préférences et les opinions
n’ont pas d’importance. Il s’agit là de devoir et de respect.»
Les Sorcières de Glace du Kislev sont respectées et craintes à travers tout le Vieux Monde. Elles sont le plus sinistre des hivers, la glace la plus froide et le blizzard le plus impitoyable. Rares sont ceux qui résistent à leur seule présence bien longtemps. Mais être Sorcière de Glace ne se limite pas à la pratique de la Magie de Glace ou la défense du Kislev contre l’ennemi, ce sont membres d’une ancienne fratrie de femmes qui influence depuis longtemps (et a parfois même gouverné) la tribu Gospodar. Elles entretiennent un lien avec les esprits hivernaux de la terre et les flux gelés de magie qui l’animent. Les Sorcières de Glace du Kislev ne sont pas seulement des femmes capables de canaliser les flux magiques glaciaux de la Veuve Vénérable : elles forment une fraternité qui œuvre dans un but commun. Fondées il y a plus d’un millénaire par les reines-khans, es Sorcières de Glace ont manœuvré pour finir par influencer presque tous les aspects de la vie Kislevite.

Elles s’efforcent de s’assurer que rien n’est hors de leur portée. Elles éradiquent les philosophies et la magie concurrentes et promeuvent ceux qui sympathisent avec leur cause. Même les cultes sont étroitement surveillés et guidés depuis des siècles. Les Sorcières prennent bien soin de s’assurer qu’aucune religion Kislevite ne gagne autant de pouvoir que dans d’autres nations du Vieux Monde : ce type de suprématie annonce souvent le début de l’éradication de leurs semblables. Certains les soupçonnent de se livrer à ces manipulations. Mais comme les Sorcières font partie intégrante du Kislev et de ses défenses, et ce, depuis sa fondation, rares sont ceux qui y croient.

La plupart des Kislevites croient que le premier devoir des Sorcières de Glace est de protéger le Kislev. Ils ont tort. En réalité, les Sorcières de Glace protègent la Magie de Glace qui parcourt le pays. Pour la plupart de ces Sorcières, défendre le Kislev n’est qu’un moyen permettant d’atteindre ce but. Toutefois, protéger leur magie n’est pas chose facile. D’abord, elles doivent en défendre la source. Le réseau de lignes telluriques transportant la Magie de Glace dans tout le Kislev passe par de nombreux nœuds géomantiques (de la même façon que la Toile Géomantique des Hommes-Lézards) dont la plupart sont couronnés d’antiques Oghams (des pierres levées). Certains de ces sites magiques abritent des ruines Elfiques, alors que d’autres renferment les sites sacrés d’antiques tribus humaines depuis longtemps disparues, comme les Scythiens et les Belthani. La plupart de ces sites sont protégés par une sorcière de glace, qui vit souvent dans une communauté Gospodars des environs. Les Sorcières pensent que la disparition de ces sites réduirait, voire même souillerait, leur Magie de Glace, et elles sont donc prêtes à tout pour les défendre.

Une méthode utilisée par les Sorcières de Glace pour assurer la sécurité de leur magie consiste à attaquer et à détourner les menaces potentielles bien avant qu’elles n’arrivent jusqu’aux sites importants. Ce genre de tactique nécessite une certaine influence auprès des communautés locales, car chaque Stanitsa finance des Rotas de cavalerie et de soldats pour protéger ses environs. Par conséquent, les Sorcières de Glace gardent des contacts avec la plupart des communautés Gospodars et même Ungols, pour s’assurer que les menaces sont annihilées d’autant plus vite.

Il est donc essentiel que les dirigeants locaux prêtent l’oreille aux propos des Sorcières de Glace. Au fil des siècles, elles se sont infiltrées dans la plupart des nobles lignées du Kislev en tant que femmes, maîtresses et confidentes. Une fois installées de la sorte, elles travaillent sans relâche pour noyauter la société Kislevite, confier les postes les plus influents aux leurs et s’assurer qu’on prenne leurs sœurs en considération. Maintenant, on les écoute presque toujours et on leur obéit souvent. Leur influence au Kislev est presque sans égal.

Les Sorcières de Glace n’ont ni titre ni poste officiel. Elles disposent à la place d’une structure politique changeante où la position de chacune dépend de son rang au Kislev, de sa situation, de sa lignée, de ses croyances, de la personne qui l’a formée, de l’identité de ses apprenties, de ce qu’elle sait, de ses exploits, de sa capacité à canaliser la Magie de Glace et d’une bonne douzaine d’autres facteurs. Plusieurs factions sont nées au fil du dernier millénaire et la plupart ne ménagent pas leurs efforts pour accomplir leurs desseins. Toutefois, comme les Sorcières de Glace ne sont pas si nombreuses, ces factions comptent rarement plus d’une poignée de femmes aux objectifs similaires.

Le seul rassemblement officiel des Sorcières est le conclave annuel d’Erengrad à la Tour du Givre. Le lendemain du jour de Shoïka (le solstice d’été et le nouvel an Kislevite), les Sorcières se rendent si elles le peuvent à Erengrad pour y discuter des affaires importantes, recenser les décès, partager leurs connaissances, rencontrer de vieilles amies (ou ennemies) et s’entretenir de politique. La réunion a lieu durant le solstice d’été, car c’est là que le flux glacial de la Magie de Glace est le plus paresseux, ce qui permet de s’assurer que la magie n’est pas utilisée lors des querelles, car il arrive qu’elles ne soient pas d’accord.

Le conclave dure de quelques jours à une semaine, selon le programme établi par les Sorcières. À la fin, la plus puissante d’entre elles (actuellement la Tsarine Katarina, bien qu’elle ne participe pas régulièrement) proclame les décisions prises par ses sœurs pour l’année, lesquelles sont décidées par un vote à la majorité.

Le palais Bokha abrite également une réunion informelle des Sorcières de Glace nobles lors de Miskaden (l’équinoxe de printemps), après laquelle on festoie et on danse. Les Sorcières paysannes se méfient de cet événement, car elles soupçonnent les nobles d’y décider de l’ordre du jour et de leurs futurs votes au conclave, ce qui permet à la Reine de Glace de s’assurer que sa politique se déroule comme prévu même si elle n’y participe pas.

Les Gospodars subissent depuis longtemps l’influence de leurs Sorcières de Glace, et comme elles noyautent la caste dirigeante du Kislev, cette domination ne risque pas de changer de sitôt. De plus, bien des communautés Gospodars du Kislev bénéficient de la surveillance et des conseils des Sorcières de Glace, et la plupart peuvent faire une démonstration de leurs pouvoirs dévastateurs quand surviennent des envahisseurs. Par conséquent, les Sorcières sont très populaires même si la plupart des Kislevites s’en méfient malgré tout. Cependant, contrairement aux Vedma Ungols, les Sorcières de Glace sont incapables de détecter facilement l’influence du Chaos, et elles n’enlèvent donc pas les gens sans raison apparente. Par conséquent, même si elles sont moins efficaces dans la lutte contre les influences subtiles du Chaos, leur popularité n’en est que plus grande. Les Ungols n’aiment pas les Sorcières de Glace, même s’ils les respectent généralement. Cette aversion vient du fait que les Sorcières de Glace, et en particulier les nobles, ont la réputation de réquisitionner les ressources Ungols dès que l’envie les en prend et d’appuyer leurs requêtes par la force Gospodars.

Toutefois, ce mépris n’est pas universel. Il ne semble pas s’étendre à la Tsarine, dont le statut et la réputation semblent audessus de tout soupçon, bien qu’elle soit une sorcière Gospodars. De plus, les Vedma soutiennent vigoureusement les desseins des Sorcières de Glace, sinon leurs méthodes, car elles reconnaissent leurs efforts pour préserver la terre de la Veuve Vénérable. Cependant, ce soutien qu’apportent les Vedma les rend encore moins populaires au sein de leurs propres communautés.

Dans le nord du Vieux Monde, les Sorcières de Glace sont généralement craintes, haïes ou les deux à la fois. Elles terrifient la plupart des Kyazaks, et la simple rumeur de la présence de l’une d’entre elles suffit à en faire battre beaucoup en retraite. Par conséquent, tuer une Sorcière de Glace est l’occasion de grandes fêtes chez les Kurgans et les Norses, présageant souvent de spectaculaires et sanglants rituels voués à leurs sombres dieux. Les habitants de l'Empire considèrent les Sorcières avec la même suspicion que tous les utilisateurs de magie. Leur présence prolongée au sein de la noblesse du pays a suscité autrefois plus d’une croisade fanatique contre le Kislev, car beaucoup de Sigmarites les considèraient comment des adoratrices éhontées du Chaos, des Sorcières de la pire espèce. Toutefois, cette méfiance est moins courante depuis la réunification de l’Empire qui a eu lieu après la Grande Guerre. En dehors de l’Empire, on ne connaît pas bien les Sorcières de Glace, et la Tsarine en envoie une de temps à autre au titre d’ambassadrice vers une cour lointaine où l’étincelante magicienne gelée attirera assurément beaucoup l’attention.

Formation

Une Apprentie Sorcière affronte le blizzard
Chaque année, lors des fêtes de l’équinoxe d’hiver, les Sorcières de Glace visitent les communautés Gospodars locales et évaluent des files de gamines paysannes tremblotantes pour déterminer si elles ont en elles l’étincelle de la magie. Ce talent est fort peu commun, et il est rare qu’on trouve ne serait-ce qu’une seule fille ayant le potentiel requis. Toutes celles qui l’ont sont emmenées sur-le-champ pour commencer leur apprentissage de Sorcières. Parmi les nobles, le rituel est presque identique mais se déroule normalement à l’intérieur. Là, des jeunes filles sur leur trente et un sont menées devant une tante, une grand-mère ou une autre parente à l’attitude glaciale qui les met à l’épreuve pour déterminer si l’une d’entre elles a le don de ses ancêtres les Reines-Khans. Quand c’est le cas (le talent est plus répandu chez les nobles), la fille est retirée de la société et formée au domaine de sa parente. Toutefois, on accepte des apprenties à tout moment. Dès qu’une sorcière de glace tombe sur une fille Gospodars ayant le don de la magie, son devoir l’oblige à la prendre comme apprentie ou au moins à l’emmener chez une autre sorcière pour qu’elle y reçoive une formation. Après tout, bien rares sont les Sorcières nobles qui s’abaisseraient à prendre une simple paysanne sous leur aile.

Comme on est en droit de s’y attendre venant d’une magie née des guerres dans la Steppe Sans Fin, la Magie de Glace engendre un terrible taux de mortalité, non seulement chez les ennemis des Sorcières, mais également chez ces dernières. Bien des apprenties ne survivent pas à leur formation. En fait, on en trouve encore aujourd’hui dans des recoins isolés de l'Oblast, transformées à jamais en statues de glace par la magie qu’elles n’ont pas pu contrôler.

Celles qui survivent ne doivent pas s’attendre à ce que les choses deviennent plus faciles. La Magie de Glace peut échapper à leur contrôle à tout moment, et une vigilance de tous les instants est requise, ainsi qu’une méticuleuse préparation. De plus, la magie marque irrémédiablement celles qui la pratiquent: les Sorcières de Glace sont froides, voire sans cœur selon certains, reflétant la nature glaciale de la magie qu’elles canalisent.

Les Apprenties Sorcières

Chaque année, les Sorcières de Glace émergent de l’Oblast givré pour évaluer les fillettes Gospodars transies. Les rares gamines qui démontrent un potentiel magique sont extraites de leur famille, qui ne les reverra probablement jamais. À peine femmes, elles sont menées au cœur de l’impitoyable hiver Kislevite, où on leur enseigne les voies de la magie des glaces telles que les ont suivies les reines-khans depuis d'innombrables générations. On leur apprend à survivre aux terribles hivers dans l'Oblast afin qu'elles s'y endurcissent, d'esprit comme de corps.

Leur routine quotidienne est alors composée d'une part d'un apprentissage de la survie dans ce milieu hostile, comme faire un feu ou poser des pièges pour capturer des animaux sauvages, et d'autre part à la pratique de la magie de glace. Beaucoup ne survivent pas à cet intense entrainement, et celles qui y arrivent ne seront plus jamais les mêmes : elles deviennent froides, distantes, bien plus mûres que ne le suggère leur âge, et parfaitement conscientes de leur insignifiance devant la toute-puissance du cœur glacial de la Veuve Vénérable. Plus tard, les plus douées seront libérées par leurs maîtresses pour aller à leur guise en tant que «Vierges de glace». D'autres, trouvant cette voie trop intimidante et emprunte de solitude, préfèreront alors se mettre au service de la communauté grâce à leurs pouvoirs et connaissances.

Toutes celles qui réussissent à compléter leur entrainement et acquérir la liberté de la part de leur formatrice voient apparaitre rapidement des changements physiques : leurs yeux s'éclaircissent pour prendre la couleur bleue-blanche de la glace, et leur peau devient non seulement plus pâle, mais aussi plus froide au contact.

Il existe une rumeur selon laquelle chaque apprentie sorcière, pour son premier anniversaire depuis le jour de sa sélection, doit creuser un trou dans la glace d'un lac gelé dans l'aide du moindre outil, puis plonger dans l'eau glacée. Ainsi trempée, elle doit alors survivre toute la nuit dehors, avec pour seul rempart contre les éléments une fine couverture. Puisque aucune apprentie, vierge de glace, ou sorcière confirmée ne souhaite détailler ces rituels à quiconque d'autre que l'une des leurs, la véracité de cette rumeur n'a jamais pu être confirmée.

Les Vierges de Glace

Quand les Apprenties Sorcières terminent leur formation, leurs maîtresses les libèrent pour qu’elles puissent acquérir une meilleure compréhension de la Magie de Glace. Pour ce faire, elles doivent refléter la Veuve Vénérable, aussi fidèlement que possible. Elles prononcent donc des vœux de chasteté (pour représenter le veuvage) avant de forger leur cœur par une froide détermination. Les Vierges de glace se rencontrent parfois dans les sites les plus improbables au cours de leur quête, mais elles errent le plus souvent dans l’Oblast glacé, affrontant les Kyazaks, les esprits de la terre et les féroces Peaux-Vertes avec le même sang-froid. Le vœu de chasteté de la Vierge de Glace prend fin lorsqu’elle acquiert un réel entendement de la magie hivernale et devient Sorcière de glace à part entière. Mais cette compréhension ne se présente jamais pour certaines d’entre elles, qui restent alors éternellement seules.

Les Hommes

Les Sorcières de Glace sont les gardiennes de bien des prophéties et légendes. L’une d’entre elles prétend qu’un Sorcier corrompra un jour le flux immaculé de la Magie de Glace, la changeant à tout jamais. Elles craignent tellement la naissance de ce Sorcier que dès l’époque de la Tsarine Shoïka, les hommes ont toujours eu interdiction de devenir lanceurs de sorts au Kislev. On a justifié ce décret en prétendant qu’ils n’étaient pas faits pour la magie et qu’ils succomberaient assurément à la corruption, des croyances que partagent désormais toutes les couches de la société. À ce jour, les Sorciers de village ont toujours été traqués et tués par le gouvernement. S’il s’agit de nobles, leurs pouvoirs magiques leur sont retirés par les Sorcières grâce à un rituel qui, s'il n'est effectivement pas mortel, fait de sa victime une coquille vide, et beaucoup succombent ensuite à la folie et au désespoir.

Pour l’éviter, certaines lignées de nobles Gospodars font passer clandestinement ceux de leurs fils qui ont des dons magiques dans les Collèges de Magie de l’Empire. Rares sont ceux qui en reviennent, car le Kislev n’accepte pas les hommes qui pratiquent l’art féminin de la magie. Cependant, ce récent développement inquiète les Sorcières, car il invalide leurs arguments prétendant que les hommes sont toujours corrompus par la magie. Par conséquent, nombre de Sorcières en appellent à l’action, et quelques-unes ont déjà échafaudé des plans pour résoudre le problème.

Sources

  • Warhammer JdR- La Reine des Glaces