Modification de Sigmar

De La Bibliothèque Impériale

Attention : vous n’êtes pas connecté. Votre adresse IP sera visible de tout le monde si vous faites des modifications. Si vous vous connectez ou créez un compte, vos modifications seront attribuées à votre nom d’utilisateur, avec d'autres avantages.

Cette modification va être annulée. Veuillez vérifier les différences ci-dessous, puis publier l’annulation si c’est bien ce que vous voulez faire.
Version actuelle Votre texte
Ligne 33 : Ligne 33 :
 
Tandis que Siggurd et ses guerriers d’élite se battaient contre les gardes de Ragesang, Sigmar et le Chef de Guerre Orque engagèrent un combat singulier. Le marteau et le grand [[:Catégorie:Armement#Le Kikoup'|Kikoup’]] s’entrechoquèrent tandis que leurs deux propriétaires luttaient pour obtenir l’avantage. Finalement, ce fut Sigmar qui abattit le chef Orque d’un coup double magistral, brisant d’abord la main qui tenait le Kikoup’ puis enfonçant le crâne de Ragesang d’un revers. La mort de leur chef déclencha la déroute de l’armée des Orques qui, prise de panique, s’enfuit dans une grande débandade. Le massacre qui s’ensuivit fut terrifiant à conTempler tandis que les hommes et les Nains se jetaient sur leurs ennemis jurés. On raconte que jamais dans le monde on ne vit un afflux de corbeaux aussi considérable que celui qui se rassembla pour festoyer sur les dépouilles des peaux vertes restées sur le champ de bataille. Il mourut tant d’Orques et de Gobelins ce jour-là qu’il leur fallut plus de mille ans avant d’être de nouveau capables de lever une telle armée. Après cette bataille, les humains retournèrent vers leurs terres mais pas vers leurs anciennes coutumes. Tous les chefs tribaux reconnurent qu’ils étaient plus en sécurité unis que divisés et ils comprirent aussi qui était le seul homme capable de réaliser cette unité. C’est ainsi qu’à Reikdorf, un an après la bataille du Col du Feu Noir, l’Ar-Ulric plaça sur la tête de Sigmar une couronne d’or et d’ivoire, un cadeau des Nains, et le proclama Empereur devant une assemblée composée de tous les représentants des tribus. Devant lui, tous les chefs tribaux vinrent tour à tour s’agenouiller pour se promettre mutuellement une assistance fraternelle et jurer allégeance à l’Empereur Sigmar et à l’Empire qui venait de naître.  
 
Tandis que Siggurd et ses guerriers d’élite se battaient contre les gardes de Ragesang, Sigmar et le Chef de Guerre Orque engagèrent un combat singulier. Le marteau et le grand [[:Catégorie:Armement#Le Kikoup'|Kikoup’]] s’entrechoquèrent tandis que leurs deux propriétaires luttaient pour obtenir l’avantage. Finalement, ce fut Sigmar qui abattit le chef Orque d’un coup double magistral, brisant d’abord la main qui tenait le Kikoup’ puis enfonçant le crâne de Ragesang d’un revers. La mort de leur chef déclencha la déroute de l’armée des Orques qui, prise de panique, s’enfuit dans une grande débandade. Le massacre qui s’ensuivit fut terrifiant à conTempler tandis que les hommes et les Nains se jetaient sur leurs ennemis jurés. On raconte que jamais dans le monde on ne vit un afflux de corbeaux aussi considérable que celui qui se rassembla pour festoyer sur les dépouilles des peaux vertes restées sur le champ de bataille. Il mourut tant d’Orques et de Gobelins ce jour-là qu’il leur fallut plus de mille ans avant d’être de nouveau capables de lever une telle armée. Après cette bataille, les humains retournèrent vers leurs terres mais pas vers leurs anciennes coutumes. Tous les chefs tribaux reconnurent qu’ils étaient plus en sécurité unis que divisés et ils comprirent aussi qui était le seul homme capable de réaliser cette unité. C’est ainsi qu’à Reikdorf, un an après la bataille du Col du Feu Noir, l’Ar-Ulric plaça sur la tête de Sigmar une couronne d’or et d’ivoire, un cadeau des Nains, et le proclama Empereur devant une assemblée composée de tous les représentants des tribus. Devant lui, tous les chefs tribaux vinrent tour à tour s’agenouiller pour se promettre mutuellement une assistance fraternelle et jurer allégeance à l’Empereur Sigmar et à l’Empire qui venait de naître.  
  
Cependant, cinquante ans après son accession au trône, Sigmar annonça son abdication aux comtes et aux grands Prêtres des différents cultes réunis en assemblée. ''« Mon œuvre ici-bas est terminée'', dit-il à la foule stupéfaite. ''L’Empire est prospère et unifié et, entre vos mains bienveillantes, il le restera. Il me reste toutefois un travail à accomplir, une tâche à terminer, car il me faut ramener Ghal Maraz à son créateur. »'' Et sur ces paroles, le premier Empereur posa sa couronne sur la table, prit un havresac, chargea Ghal Maraz sur son épaule et s’en alla vers un destin ignoré de tous.  
+
Cependant, cinquante après son accession au trône, Sigmar annonça son abdication aux comtes et aux grands Prêtres des différents cultes réunis en assemblée. ''« Mon œuvre ici-bas est terminée'', dit-il à la foule stupéfaite. ''L’Empire est prospère et unifié et, entre vos mains bienveillantes, il le restera. Il me reste toutefois un travail à accomplir, une tâche à terminer, car il me faut ramener Ghal Maraz à son créateur. »'' Et sur ces paroles, le premier Empereur posa sa couronne sur la table, prit un havresac, chargea Ghal Maraz sur son épaule et s’en alla vers un destin ignoré de tous.  
  
 
Moins de vingt-cinq ans après la disparition de Sigmar, pendant le règne de l’Empereur Hénest à Nuln, un moine mendiant du nom de Johann Helstrum arriva à Altdorf, parlant d’un nouveau Dieu : l’Empereur Sigmar lui-même. L’œil brillant d’un sauvage enthousiasme, s’exprimant avec toute la force de sa conviction, il prêchait la parole du Divin Sigmar à qui voulait l’entendre, réussissant même à susciter des vocations chez certains Prêtres d’autres cultes. Ses paroles ne furent pas bien accueillies partout. De nombreux membres du clergé des autres Dieux rejetèrent Helstrum en le traitant de malade mental et prétendirent que ses apparitions étaient dues à une consommation abusive de pain moisi. Ce qu’il disait frôlait le blasphème, car il prétendait avoir reçu une vision dans laquelle Ulric en personne posait une couronne sur la tête de Sigmar, le consacrait en tant que Dieu et faisait de lui le chef de tous les Dieux. Certains voulurent même le faire tuer, mais d’autres se montrèrent plus tolérants. Le nouveau culte d’Helstrum prêchait l’unité de l’Empire et l’obéissance à l’Empereur et aux [[Comtes Électeurs]] et, pour cela, ce modeste culte obtint la permission de bâtir un Temple dans la cité bien-aimée de Sigmar, Altdorf, avec Johann Helstrum comme premier [[Grand Théogoniste]].
 
Moins de vingt-cinq ans après la disparition de Sigmar, pendant le règne de l’Empereur Hénest à Nuln, un moine mendiant du nom de Johann Helstrum arriva à Altdorf, parlant d’un nouveau Dieu : l’Empereur Sigmar lui-même. L’œil brillant d’un sauvage enthousiasme, s’exprimant avec toute la force de sa conviction, il prêchait la parole du Divin Sigmar à qui voulait l’entendre, réussissant même à susciter des vocations chez certains Prêtres d’autres cultes. Ses paroles ne furent pas bien accueillies partout. De nombreux membres du clergé des autres Dieux rejetèrent Helstrum en le traitant de malade mental et prétendirent que ses apparitions étaient dues à une consommation abusive de pain moisi. Ce qu’il disait frôlait le blasphème, car il prétendait avoir reçu une vision dans laquelle Ulric en personne posait une couronne sur la tête de Sigmar, le consacrait en tant que Dieu et faisait de lui le chef de tous les Dieux. Certains voulurent même le faire tuer, mais d’autres se montrèrent plus tolérants. Le nouveau culte d’Helstrum prêchait l’unité de l’Empire et l’obéissance à l’Empereur et aux [[Comtes Électeurs]] et, pour cela, ce modeste culte obtint la permission de bâtir un Temple dans la cité bien-aimée de Sigmar, Altdorf, avec Johann Helstrum comme premier [[Grand Théogoniste]].
  
 
Aujourd’hui, le culte de Sigmar domine dans l’Empire. On peut voir ses Temples et ses oratoires dans les plus petites communautés et des millions de fidèles en appellent à Sigmar pour qu’il défende leurs âmes de la corruption. Parmi leurs devoirs, les Prêtres sont chargés de défendre l’Empire créé par Sigmar et ils le font souvent en battant le rappel des citoyens lors des périodes de troubles ; c’est la raison pour laquelle les étrangers les perçoivent fréquemment comme les Prêtres d’un Dieu de la guerre, bien que ceci ne soit pas entièrement vrai.
 
Aujourd’hui, le culte de Sigmar domine dans l’Empire. On peut voir ses Temples et ses oratoires dans les plus petites communautés et des millions de fidèles en appellent à Sigmar pour qu’il défende leurs âmes de la corruption. Parmi leurs devoirs, les Prêtres sont chargés de défendre l’Empire créé par Sigmar et ils le font souvent en battant le rappel des citoyens lors des périodes de troubles ; c’est la raison pour laquelle les étrangers les perçoivent fréquemment comme les Prêtres d’un Dieu de la guerre, bien que ceci ne soit pas entièrement vrai.
 +
  
 
=Le Culte Officiel=
 
=Le Culte Officiel=

Notez bien que toutes les contributions à La Bibliothèque Impériale peuvent être modifiées, transformées ou supprimées par d’autres utilisateurs. Si vous ne désirez pas que vos écrits soient modifiés contre votre gré, merci de ne pas les soumettre ici.
Vous nous promettez aussi que vous avez écrit ceci vous-même, ou que vous l’avez copié d’une source provenant du domaine public, ou d’une ressource libre. (voir La Bibliothèque Impériale:Copyrights pour plus de détails). N’UTILISEZ PAS DE TRAVAUX SOUS DROIT D’AUTEUR SANS AUTORISATION EXPRESSE !

Pour protéger le wiki contre les pourriels de modification automatique, nous vous demandons de bien vouloir résoudre le CAPTCHA suivant :

Annuler | Aide pour l'édition (s’ouvre dans une nouvelle fenêtre)