Reiksguard
- « Chevalier de la Reiksguard, l’Empereur vous appelle ! La mort ou la gloire nous attend, mais si nous trépassons, ce sera en guerrier, l’épée à la main, et il n’existe pas de mort plus noble que celle-là ! »
- - Kurt Helborg, le Reiksmarshall
Les armées de l’Empire sont composées de différentes forces issues de plusieurs contingents provinciaux. Cependant l’épine dorsale de la Garde Impériale de l’Empereur, aussi bien au palais que sur le champ de bataille, est la Reiksguard. Fondée durant le règne de Wilhelm, premier Empereur de la lignée des princes d’Altdorf, la Reiksguard recrute parmi les fils de la haute noblesse.
Cet Ordre de Chevalerie recrute dans tout l’Empire des membres issus de riches ou puissantes familles nobles. C’est un honneur considérable pour une famille d’avoir son fils aîné au service de la Reiksguard. En tant que meilleure troupe d’élite à la disposition de l’Empereur, ils accompagnent ce dernier en temps de guerre comme en temps de paix, formant sa garde du corps personnelle sur le champ de bataille et durant ses devoirs protocolaires. Le corps d’infanterie de la Reiksguard est formé de plusieurs Régiments de Reiksguard. Ce sont les propres troupes de l’Empereur et ce ressemble le plus à une armée d’état. Par tradition, le Grand Maître de la Reiksguard porte également le titre de Reiksmarshall, ce qui fait qu’il ne répond qu’à l’Empereur en personne en matière de guerre. L’ordre est basé près du palais de l’Empereur et les chevaliers peuvent être vus défilant dans les rues, escortant l’Empereur dans les déplacements officiels, et patrouillant sur les murs de la citée.
Contrairement à ce que peuvent dire certains, les Chevaliers de la Reiksguard ne sont pas des Templiers de Sigmar mais seulement des chevaliers ayant prêté serment de protéger l’Empereur, que ces mêmes zélotes considèrent comme l’incarnation vivante de Sigmar. En dépit de son influence l’Ordre a toujours su rester apolitique, loyal avant tout à l’Empereur régnant. Par le passé, cette conduite l’a souvent placé en désaccord avec des Ordres moins intransigeants.
L’histoire impériale est jalonnée de batailles remportées par une charge décisive des Chevaliers de la Reiksguard, des histoires qui ont rendu l’Ordre très populaire à travers l’Empire. Quand un jeune et impétueux Chevalier de la Reiksguard retourne dans sa ville natale pendant ses permissions, il est salué par les acclamations du peuple et des festivités tapageuses se poursuivent tout au long de la nuit.
Au combat, la Reiksguard forme des régiments imposants afin d’impressionner l’ennemi par ses rangs de guerriers en armures resplendissantes - comme un miroir - richement ornée, coiffés de plumets rouges et blancs et de rubans écarlates. Quand ils accompagnent l’Empereur dans ses nombreuses processions d’usage, ils ajoutent à la splendeur et à la magnificence de l’occasion quelque chose par leur bouleversante prestance ainsi que leur fabuleuse et coûteuse armure. Durant le tournoi Impérial annuel, les membres de la Reiksguard s’affrontent les uns aux autres pour l’honneur d’être choisi par l’Empereur. Ces événements sont des points culminants principaux de l’année, attirant les habitants de tout l’Empire et d’au-delà.[1][2]
Histoire[modifier]
La Reiklandguard[modifier]
En 2303, lorsque Magnus le Pieux mena les armées de l'Empire vers Kislev pour la Grande Guerre Contre le Chaos, de nombreux nobles chevaliers chevauchèrent à ses côtés.[3] Wolfgang Trenkenhoff était l'un d'eux. Cet ami proche du nouvel empereur revint du nord en héros légendaire de l'Empire, et Magnus le nomma Reiksmarshall. c'est lui qui était à l’origine même de l’ordre des chevaliers de la Garde du Reikland, ou Reiklandguard, qui se composait des chevaliers qui avaient chevauché aux côtés de l’Empereur Magnus durant la Grande Guerre.
A l'époque, ce nouvel ordre était un corps d'élite dont les membres étaient sélectionnés parmi la crème des ordres de chevalerie. Ils étaient des figures propres à impressionner le simple troufion, mais assez humbles et amicales pour se mêler aux soldats après une dure journée de marche. Ils n’étaient pas de ceux qui vivaient dans l’opulence de la haute société et avaient acheté leur position pour bénéficier d’avantages politiques. Ces chevaliers étaient au contraire des guerriers endurcis, et chacun d’eux était un vétéran avec des dizaines de batailles à son actif. C’étaient des hommes proches de la terre, choisis pour leur bravoure et leur valeur au combat.[4]
Fondation[modifier]
En 2429, lorsque le Prince du Reikland Wilhelm II Holswig-Schliestein devint empereur, il officialisa l'ordre de chevalier pour qu'ils officient en tant que garde rapprochée de l’Empereur. Le nom Garde du Reikland fut alors abrégé pour devenir la Reiksguard.[4] Depuis, la Reiksguard a gagné en force et en influence dans tout l'Empire.[5]
La Fin des Temps[modifier]
Après la chute du Bastion Doré et la disparition de Karl Franz, le Reiksmarshall Kurt Helborg, devenu régent de l'Empire, rassemble 300 chevaliers survivants à Altdorf. Les survivants suivent ensuite l'empereur à Averheim, en Athel Loren, et les derniers meurent au cours de la dernière bataille à Middenheim.[6][7]
Organisation[modifier]
La structure de la Reiksguard ressemble à celle de n'importe quel autre ordre de chevaliers. Au sommet se trouve le Grand Maître Helborg, qui commande toute l'armée de chevaliers et siège à la droite de l'Empereur. Au-dessous de lui se trouve le cercle intérieur, composé des vingt chevaliers les plus expérimentés. Ce sont les Chevaliers Commandants et les Sous-Marschall qui supervisent les forces de la Reiksguard dans tout l'Empire.
Au-dessous du cercle intérieur se trouvent les précepteurs, qui commandent les bannières des chevaliers au combat. Enfin, il y a les novices, qui doivent subir un entraînement, une instruction et des tests intenses avant d'être acceptés en tant que chevaliers à part entière. Selon les règles de l'ordre, un membre actuel ou ancien de la Reiksguard doit coopter tout novice potentiel sur la base de son caractère. Dans la pratique, il existe d'autres moyens de négocier l'entrée dans l'ordre. Au début de leur service, les chevaliers accomplissent des tâches au sein du palais impérial. Lorsqu'ils combattent aux côtés de l'empereur, les chevaliers sont appelés la Garde Impériale.
Officiellement, la Reiksguard se tient à l'écart de la politique, mais aucune organisation aussi puissante ne peut échapper aux intrigues. À Altdorf, tout le monde considère la Reiksguard comme fidèle à l'Empire de Sigmar, mais les nobles de Middenheim et de Nuln considèrent l'ordre comme une force de centralisation du pouvoir au Reikland.[5]
En 2522, après la Tempête du Chaos, l'ordre compte un peu plus de 1200 chevaliers. La plupart montent un des réputés destriers de l'Averland et tous ont été formés à toutes les armes utilisées dans l'Empire[8] Chaque escadron est commandé par un noble qui recrute en général ses hommes dans sa province d'origine. Il existe une grande rivalité entre les escadrons.[9]
Le cercle intérieur de la Reiksguard[modifier]
Même au sein de l’élite de la chevalerie de l’Empire, certains guerriers parviennent à se distinguer. Ces véritables héros ont pour mission d’assurer la sécurité du Reiksmarshall, et bien qu’ils ne soient qu’une vingtaine, leur présence sur le champ de bataille vaut à elle seule tout un régiment de troupes régulières.[10]
Les Grands Heaumes[modifier]
Karl-Franz a récemment recruté et équipé un petit groupe de gardes impériaux - tous mesurant plus d'un mètre quatre-vingt-dix - qu'il appelle les Grands Heaumes. Il souhaite créer une unité de cavalerie d'élite composé de chevaliers très résistants et très grands. Ils sont actuellement stationnés à Altdorf. Cela n'a pas été sans créer quelques dissensions au sein de la Reiksguard, qui craint qu'il ne soit en train de créer un autre cercle intérieur, et où la rumeur dit que ces "géants" ont un cerveau pour quatre. Les empereurs précédents craignaient le pouvoir de la Reiksguard, et Karl-Franz est peut-être du même avis.[5][9]
La Reiksguard de Zintler[modifier]
La Reiksguard de Zintler, nommée d'après son Reikscaptain, Hans Zintler, a une longue et glorieuse histoire. Ils étaient considérés comme exceptionnels, même au sein de leur ordre renommé, bien qu'ils ne fassent pas partie de son cercle intérieur.
Maîtres de la lance de cavalerie, chacun de ces chevaliers en armure de plates s'entraîne longuement lors de tournois et de compétitions avant de s'engager sur le champ de bataille. Dans les écuries d'Altdorf, on dit souvent que chaque membre de la Reiksguard est capable de viser l'as d'une carte à jouer en chargeant au galop, bien que leurs rivaux affirment que cette impressionnante réputation est autant achetée avec de l'or que gagnée sur le champ de bataille.
Les Reiksguard de Zintler se distinguent par leur armure de plaque voyante, arborant des symboles et des motifs plus communément associés à l'élite des Chevaliers Demigriffons d'autres ordre chevaleresque. Ils n'ont peur de rien au combat et servent souvent d'avant-garde aux armées impériales. Ils participèrent à la croisade de Volkmar le Sévère contre la Sylvanie.[11][12] Zintler lui-même fut tué par Gutrot Spume au cours du siège d'Altdorf.[6]
La bannière du précepteur Wallenrode[modifier]
Les chevaliers de cette unité se sont fait un nom en combattant la horde du Chef de Guerre Orque Vorgaz Mâchoire de Fer pendant la Troisième Bataille du Col du Feu Noir. Chacun de leurs étendard porte l'insigne de cette victoire.
La bannière du précepteur Jungingen[modifier]
Le précepteur Jungingen ne sert que depuis 10 ans. Il est ambitieux et déterminer à atteindre l'un des postes supérieurs de l'ordre. Son esprit assuré et sa détermination à agir assurent sa valeur malgré son jeune âge.[8]
Le Faucon de Wurtbad[modifier]
Il s'agit de l'escadron du graf Alberich Haupt-Anderssen, le comte électeur du Stirland[9]
L'Untersuchung[modifier]
L'Untersuchung est un groupe secret basé dans un bâtiment anonyme du chapitre d'Altdorf. Il enquête sur les cultes et les réseaux d'activités subversives ou blasphématoires au sein de la cour impériale ou des armées de l'Empire.
Le capitaine de l'Untersuchung est le lieutenant Gottfried Braubach, un homme cynique qui a découvert et détruit de nombreuses sectes. Il encourage ses agents à infiltrer et à surveiller les forces subversives, plutôt que d'intervenir pour les éliminer avant de s'attaquer à la racine de la menace.
L'Untersuchung est secrète, en partie parce que ses agents opèrent dans une zone moralement grise. Ils ont une connaissance approfondie des forces du Chaos et disposent d'une bibliothèque d'ouvrages interdits et douteux. Les agents de l'Untersuchung peuvent s'intégrer à des cultes pendant de nombreuses années, au risque de se corrompre eux-mêmes. Braubach fournit au cercle intérieur de la Reiksguard des informations incomplètes et parfois fausses sur les opérations de l'Untersuchung.
La Bannière Invisible[modifier]
Maître Lehrer a quitté le champ de bataille le jour où il a perdu son pied droit. Il est devenu le gardien de l'histoire de l'ordre, mais il est plus qu'un érudit et un archiviste. Lehrer est le précepteur secret de la Bannière Invisible, le service de renseignement de la Reiksguard.
Chaque chapitre de la Reiksguard dans l'Empire charge un seul chevalier de rechercher des renseignements sur la situation politique locale et, le cas échéant, de prendre des mesures en faveur de l'unité impériale. La plupart des chevaliers considèrent cette pratique comme déshonorante, mais pour les hommes de Lehrer, rien n'est plus important que la force de l'Empire.[5]
Localisation[modifier]
Comme la Reiksguard est la garde du corps de l'Empereur, ses baraquements sont situés dans le relatif confort de la cité d'Altdorf, où se situe son haut commandement. toutefois, l'ordre est aussi responsable de garder tous les palais et les châteaux appartenant à la couronne impériale, et le corps d'élite maintien des garnisons, ou Reiksfort[12], disséminées dans tout l'Empire[5][1]
Altdorf[modifier]
L'ordre est une source de fierté pour la ville. Lorsque les chevaliers partent en guerre ou reviennent victorieux, les citoyens se rassemblent dans les rues pour les acclamer. Un défilé de la Reiksguard est un spectacle à voir, avec des rangs de chevaliers à pied et des compagnies de cavalerie qui défilent dans leurs armures étincelantes, lances brandies et bannières flottant au vent.
Sur le plan individuel, les chevaliers de la Reiksguard sont moins appréciés. Nombre d'entre eux sont d'arrogants fils aînés des grandes familles de l'Empire. Ils savent qu'ils font partie de l'élite militaire et s'attendent à ce que les gens les respectent. Nombre d'entre eux pensent qu'ils sont au-dessus des règles du reste de la noblesse. Ils mènent une vie faite d'entraînements et de campagnes incessants, entrecoupés de rencontres avec les plus hautes sphères de la société de l'Empire. Inutile de dire que nombre d'entre eux ont peu de sens commun.
Il arrive que la Reiksguard soit appelée à servir dans la ville même. L'Empereur leur a ordonné de réprimer les émeutes de la taxe sur les fenêtres en 2502, malgré les objections d'Helborg. Ils ont évité de jouer le même rôle lors des émeutes du Grand Brouillard, mais les agitateurs prétendent toujours que la Reiksguard a chevauché et tué des innocents.[5]
Le Chapitre d'Altdorf[modifier]
Le chapitre est une citadelle à l'intérieur d'Altdorf, une enceinte fortifiée qui reste défendable si un ennemi franchit les murs de la ville. De hauts bastions de granit entourent un ensemble de cours, de tours et de terrains d'exercice en brique et en pierre. On y trouve des casernes, des écuries, des chenils et d'innombrables cellules où les chevaliers vivent dans des conditions simples mais confortables. Les passages sont décorés de mémoriaux et de statues de héros remontant à la fondation de l'Empire.
La porte de Wilhelm est l'entrée principale et cérémoniale du chapitre. Elle doit son nom à la frise du couronnement de Wilhelm III sculptée au-dessus des immenses portes noires. La porte blanche est plus petite, marquée des symboles de Shallya, et généralement réservée aux novices et aux blessés revenant de la bataille.
Une haute tour de briques domine la citadelle, arborant les drapeaux de la Reiksguard, de l'empereur et du Reikland. Le Grand Maître Helborg a ses appartements dans les étages supérieurs, au-dessus de la bibliothèque et des archives de l'ordre. Sous la tour se trouvent les voûtes, qui comprennent des bains chauds et une piscine souterraine.
C'est dans la grande salle que l'ordre se réunit pour les événements importants et les fêtes. Les chevaliers dînent sous une immense tapisserie représentant Sigmar octroyant des terres aux chefs de tribus lors de la fondation de l'Empire. Des centaines de petits boucliers ornent les murs, chacun portant les armes d'un frère chevalier tombé au combat. Les repas quotidiens sont pris dans un petit réfectoire.
La chapelle du Guerrier Sigmar répond aux besoins spirituels de la Reiksguard, bien que les chevaliers les plus dévots préfèrent la Grande Cathédrale de Sigmar. De petits sanctuaires dédiés à Ulric, Taal et Shallya rendent un hommage symbolique à d'autres dieux impériaux. Le sanatorium s'occupe des blessés.
Le reikscaptain Hans Zintler est le maitre du chapitre[5], qui contient une centaine de chevaliers de la Reiksguard. En 2515, Kurt Helborg et l’intégralité du chapitre de la reiksguard d’Altdorf ont rejoint le siège de Volganof avec la bénédiction de l’Empereur.[13]
Château Reikguard[modifier]
Château Reikguard est une forteresse reiklandaise sur le Reik et le siège ancestral de la dynastie Holswig Schliestein, qui règne sur l'Empire depuis 2429. L'Empereur (et électeur du Reikland) Mattheus II, le grand-père de Karl Franz, y a instauré un parlement dans lequel les nobles, les dignitaires des cultes et les citoyens éminents sont autorisés à exprimer leurs recommandations et à approuver les lois et les taxes provinciales.[14]
Château Reikguard est connu dans tout l'Empire comme le quartier général militaire des chevaliers de la Reiksguard. Il a pour vocation de fournir à l'ordre des terrains d'entraînement, des casernes, des armureries et des installations annexes pour la décontraction et la pratique religieuse.[15]
Apparence[modifier]
Au combat, la Reiksguard forme des régiments imposants afin d’impressionner l’ennemi par ses rangs de guerriers en armures resplendissantes - comme un miroir - richement ornée, coiffés de plumets rouges et blancs et de rubans écarlates, les couleurs de l’Empereur Karl Franz. Quand ils accompagnent l’Empereur dans ses nombreuses processions d’usage, ils ajoutent à la splendeur et à la magnificence de l’occasion quelque chose par leur bouleversante prestance ainsi que leur fabuleuse et coûteuse armure. Contrairement aux autres ordres, la Reiksguard combat aussi bien à pied qu’à cheval. Dans tous les cas, son équipement est d’une excellente facture. [1][16] Les cimiers extravagants sont courants sur les casques et ils varient d'un escadron à l'autre car ils sont souvent dérivé de celui de la famille du commandant.[9]
A l'époque de la Reiklandguard, son symbole était un crâne couronné au centre d’un enchevêtrement complexe de motifs dorés.[4] Aujourd'hui, les couleurs de la Reiksguard sont le rouge et le blanc, et ils portent traditionnellement des symboles d’allégeance à l’Empereur : le crâne couronné, les feuilles de laurier (décerné aux membres de la Reiksguard qui ont accompli un acte de bravoure) et la croix impériale. Leurs boucliers et leurs bannières portent les initiales de l'empereur régnant - actuellement, il s'agit bien sûr de « KF ». Les chevaliers de la Reiksguard ont pour coutume de recouvrir cette héraldique d'un morceau de tissu, la ceinture de la honte, au cas où ils manqueraient de bravoure sur le champ de bataille.[17]
Recrutement[modifier]
Les Chevaliers de la Reiksguard recrutent exclusivement, par cooptation, des fils de la noblesse ayant fait la preuve de leur fidélité à l'Empereur et de leur compétence militaire. Ils peuvent être originaire de tout l'Empire, mais dans les faits les reiklandais sont de loin les plus nombreux. Beaucoup étaient pistoliers auparavant. La volonté de l'empereur Wilhelm était que l'ordre recrute en priorité les ainés des familles nobles, les héritiers. Wilhelm regardait vers le futur: après 10 ou 20 ans, une fois leurs pères morts, chacun d'entre eux était entrainé et formé à avoir une loyauté absolue envers l'Empereur, et à ignorer toute politique, car la Reiksguard a fait le voeu de ne jamais intervenir dans la sphère politique. Si nombre d’entre eux ont bon espoir d’hériter du titre et des propriétés de leur père un jour ou l’autre, la plupart des plus jeunes qui ne seront jamais héritiers quittent l’armée pour poursuivre d’autres intérêts et les autres restent dans la Reiksguard, devenant ses officiers, commandants ou généraux. Une charge de commandement dans la cavalerie de l'Empereur est généralement considéré comme une occupation saine et acceptable pour le plus jeune fils d'une maison noble, et nombreux sont ceux qui profitent de cette occasion pour éclipser la gloire de leurs ainés qui, eux, commandent les armées et la milice de leur province natale. [8][1][9]
Sources[modifier]
- ↑ 1,0, 1,1, 1,2 et 1,3 Livre d'Armée de l'Empire v8
- ↑ Livre d'Armée de l'Empire v7
- ↑ The Empire at War
- ↑ 4,0, 4,1 et 4,2 Anthony Reynolds, Mark of Chaos, Bibliothèque Interdite, 2006
- ↑ 5,0, 5,1, 5,2, 5,3, 5,4, 5,5 et 5,6 Warhammer RPG v4 - Altdorf, Crown of the Empire
- ↑ 6,0 et 6,1 The End Times Tome 2 : Glottkin
- ↑ The End Times Tome 5 : Archaon
- ↑ 8,0, 8,1 et 8,2 Richard Williams, Les Armées de l’Empire Tome I : Reiksguard, 2010, Bibliothèque Interdite
- ↑ 9,0, 9,1, 9,2, 9,3 et 9,4 Warhammer JdR v1 - La Campagne Impériale
- ↑ The End Times Tome 1 : Nagash
- ↑ Warhammer v8 - Le Sang de Sigmar
- ↑ 12,0 et 12,1 Total War Warhammer 3
- ↑ Livre des règles Warhammer battle v8
- ↑ Warhammer JdR v2 - Les Héritiers de Sigmar
- ↑ Warhammer RPG v4 - The Ennemy Within 5 : Empire in Ruins
- ↑ Archive site internet Games Workshop France
- ↑ Warhammer RPG v3 - Omen of war