Modification de Cavaliers Sauvages de Kurnous

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L’apparence des Cavaliers Sauvages est une réminiscence des jours anciens des Elfes. Leurs armes sont en fer, voire en silex ; leurs tuniques et armures cérémonielles ne sont guère plus que des peaux des bêtes tuées pendant leurs chasses sacrées. Pourtant leur allure évoque indéniablement une noblesse surnaturelle : le pouvoir de [[Kurnous]] coule en eux aussi sûrement que dans le corps d’Orion.
 
L’apparence des Cavaliers Sauvages est une réminiscence des jours anciens des Elfes. Leurs armes sont en fer, voire en silex ; leurs tuniques et armures cérémonielles ne sont guère plus que des peaux des bêtes tuées pendant leurs chasses sacrées. Pourtant leur allure évoque indéniablement une noblesse surnaturelle : le pouvoir de [[Kurnous]] coule en eux aussi sûrement que dans le corps d’Orion.
  
Pendant les mois d’hiver, lorsque l’esprit d’Orion est en sommeil, les Cavaliers Sauvages veillent sur la [[Athel Loren#''Yn Edryl Koiran'', la Clairière du Roi|Clairière du Roi]] en silence. Immobile et impassible, rien n’échappe à leur regard où brûle une lueur surnaturelle et quiconque ose s’aventurer dans le saint des saints de la forêt encourt leur colère. Leur autorité ne souffre aucune contestation, car en acceptant l’honneur de devenir un Cavalier Sauvage, ils se sont coupés de la société ''Asrai'' sous tous ses aspects hormis le service du roi. En vérité, les Cavaliers Sauvages sont si étrangers aux autres Elfes que peu de leurs compatriotes osent encore leur adresser la parole, et encore moins critiquer leurs actes, car la puissance dont ils sont investi a fait de ces guerriers à la haute stature des [[Esprits de la Forêt]] autant que des Elfes. La voie des Cavaliers Sauvages est un chemin sans retour, mais aucun guerrier ne saurait en refuser l’appel, car il s’agit du plus grand honneur qui puisse lui être accordé.
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Pendant les mois d’hiver, lorsque l’esprit d’Orion est en sommeil, les Cavaliers Sauvages veillent sur la [[Athel Loren#''Yn Edryl Koiran'', la Clairière du Roi|Clairière du Roi]] en silence. Immobile et impassible, rien n’échappe à leur regard où brûle une lueur surnaturelle et quiconque ose s’aventurer dans le saint des saints de la forêt encourt leur colère. Leur autorité est ne souffre aucune contestation, car en acceptant l’honneur de devenir un Cavalier Sauvage, ils se sont coupés de la société ''Asrai'' sous tous ses aspects hormis le service du roi. En vérité, les Cavaliers Sauvages sont si étrangers aux autres Elfes que peu de leurs compatriotes osent encore leur adresser la parole, et encore moins critiquer leurs actes, car la puissance dont ils sont investi a fait de ces guerriers à la haute stature des [[Esprits de la Forêt]] autant que des Elfes. La voie des Cavaliers Sauvages est un chemin sans retour, mais aucun guerrier ne saurait en refuser l’appel, car il s’agit du plus grand honneur qui puisse lui être accordé.
  
 
Lorsque l’hiver fait place au printemps et que commence le rituel du renouveau, les Cavaliers Sauvages dirigent la cérémonie, et répètent leur serment d’allégeance au roi. Au cours d’une nuit de magie et de terreur, où les spectres et les cris étranges hantent les clairières, le seigneur d’[[Athel Loren]] se relève de son lit de mort. Le cor d’Orion retentit dans la plaine sauvage et la chasse reprend de plus belle. Athel Loren tremble comme les pas d’Orion tonnent dans la forêt, gagnant en fougue et en troupe à chaque foulée. Les Cavaliers Sauvages, rendus plus forts et plus féroces par l’éveil de leur maître, galopent dans son sillage. Leurs montures ne sont pas des bêtes mortelles, mais des '''Coursiers de Kurnous''' : des avatars de la chasse aussi infatigables que les Elfes qu’ils emportent à la bataille.
 
Lorsque l’hiver fait place au printemps et que commence le rituel du renouveau, les Cavaliers Sauvages dirigent la cérémonie, et répètent leur serment d’allégeance au roi. Au cours d’une nuit de magie et de terreur, où les spectres et les cris étranges hantent les clairières, le seigneur d’[[Athel Loren]] se relève de son lit de mort. Le cor d’Orion retentit dans la plaine sauvage et la chasse reprend de plus belle. Athel Loren tremble comme les pas d’Orion tonnent dans la forêt, gagnant en fougue et en troupe à chaque foulée. Les Cavaliers Sauvages, rendus plus forts et plus féroces par l’éveil de leur maître, galopent dans son sillage. Leurs montures ne sont pas des bêtes mortelles, mais des '''Coursiers de Kurnous''' : des avatars de la chasse aussi infatigables que les Elfes qu’ils emportent à la bataille.

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