Catégorie:Clans Guerriers Orruks : Différence entre versions

De La Bibliothèque Impériale
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Les Orruks sont prompts à la colère et encore plus rapides à l'escalade. Quand ils se combattent, ils ressentent un sentiment de joie sauvage qui les fait vibrer et les pousse à de plus grands actes de violence encore. Les Orruks se nourrissent de conflits, devenant plus grands et plus forts à mesure qu'ils combattent. Leur culture est robuste et forte, grossière et primitive méritocratie que tous les Orruks comprennent instinctivement. Si un orruk sent qu'il est un meilleur candidat au pouvoir qu'un autre, il peut simplement défier son chef en combat singulier - et si sa supériorité est clairement établi, il prend sa place. Bien sûr, ce système brutal comporte un risque certain. Risque, qui empêche la race entière de s'autodétruire : un orruk qui lance un défi au chef a intérêt à être sûr de  pouvoir l'emporter, car s'il n'a pas la puissance nécessaire, sa vie sera brutalement écourtée.   
 
Les Orruks sont prompts à la colère et encore plus rapides à l'escalade. Quand ils se combattent, ils ressentent un sentiment de joie sauvage qui les fait vibrer et les pousse à de plus grands actes de violence encore. Les Orruks se nourrissent de conflits, devenant plus grands et plus forts à mesure qu'ils combattent. Leur culture est robuste et forte, grossière et primitive méritocratie que tous les Orruks comprennent instinctivement. Si un orruk sent qu'il est un meilleur candidat au pouvoir qu'un autre, il peut simplement défier son chef en combat singulier - et si sa supériorité est clairement établi, il prend sa place. Bien sûr, ce système brutal comporte un risque certain. Risque, qui empêche la race entière de s'autodétruire : un orruk qui lance un défi au chef a intérêt à être sûr de  pouvoir l'emporter, car s'il n'a pas la puissance nécessaire, sa vie sera brutalement écourtée.   
  
En apparence, un orruk a une apparence intimidante. Sa mâchoire avancée est remplie de crocs jaunes dentelés parfaits pour déchirer la viande. Sa peau varie du vert olivâtre à l'émeraude foncée, selon le royaume et la région de naissance, mais elle est toujours dure et coriace, infestée de tiques et couvertes de cicatrices bien visibles. L'orruk est trapu, la colonne vertébrale courbée, ce qui lui confère un centre de gravité bas. Cela rend les orruks stables et difficiles à abattre. Des yeux rouges porcins brillent sous son front lourd, et la puanteur de la nourriture pourrie s'échappe de sa bouche lorsqu'il crie, jure et mugit dans le langage rude et utilitaire de son espèce. Les Orruks portent souvent des armures de métal ou d'os, liées par du cuir et des tendons solides sur leurs épaules musclées. Très courants, les trophées sont portés pour mettre en avant la supériorité d'un individu dans les combats qu'il a menés, en particulier contre de grands monstres ou des ennemis puissants. Tous les orruks aiment se vanter et la plupart apprécient les "''trucs brillants''". comme une '''magpie''', même s'ils ne comprennent pas vraiment comment elle fonctionne. Bien qu'ils méprisent la civilisation et le savoir, il serait faux de dire qu'ils n'accordent aucune valeur aux livres, aux parchemins et aux bibliothèques. Après tout, le papier fait toujours un combustible efficace quand il s'agit brûler les villes.  
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En apparence, un orruk a une apparence intimidante. Sa mâchoire avancée est remplie de crocs jaunes dentelés parfaits pour déchirer la viande. Sa peau varie du vert olivâtre à l'émeraude foncée, selon le royaume et la région de naissance, mais elle est toujours dure et coriace, infestée de tiques et couvertes de cicatrices bien visibles. L'orruk est trapu, la colonne vertébrale courbée, ce qui lui confère un centre de gravité bas. Cela rend les orruks stables et difficiles à abattre. Des yeux rouges porcins brillent sous son front lourd, et la puanteur de la nourriture pourrie s'échappe de sa bouche lorsqu'il crie, jure et mugit dans le langage rude et utilitaire de son espèce. Les Orruks portent souvent des armures de métal ou d'os, liées par du cuir et des tendons solides sur leurs épaules musclées. Très courants, les trophées sont portés pour mettre en avant la supériorité d'un individu dans les combats qu'il a menés, en particulier contre de grands monstres ou des ennemis puissants. Tous les orruks aiment se vanter et la plupart apprécient les "''trucs brillants''". comme une '''magpie''', même s'ils ne comprennent pas vraiment comment elle fonctionne. Bien qu'ils méprisent la civilisation et le savoir, il serait faux de dire qu'ils n'accordent aucune valeur aux livres, aux parchemins et aux bibliothèques. Après tout, le papier fait toujours un combustible efficace quand il s'agit de brûler les villes.  
  
 
Le tourbillon de violence qui caractérise une invasion orruk prend la forme d'un vacarme assourdissant de mugissements, de cris, d'un fracas tonitruant. Cela attire généralement encore plus d'orruks au même endroit, attirés par la promesse d'une bonne bagarre. Comme une pierre lancée qui déclenche une avalanche, la première étincelle de violence se transforme en une croisade désordonnée, capable de mettre à bas un empire. Des civilisations entières ont été mises à mal par un Waaagh ! débutant par le vol du déjeuner d'un orruk par un autre orruk, l'incompréhension d'une bonne insulte ou l'observation d'un nuage d'une forme étrange dans le ciel.  
 
Le tourbillon de violence qui caractérise une invasion orruk prend la forme d'un vacarme assourdissant de mugissements, de cris, d'un fracas tonitruant. Cela attire généralement encore plus d'orruks au même endroit, attirés par la promesse d'une bonne bagarre. Comme une pierre lancée qui déclenche une avalanche, la première étincelle de violence se transforme en une croisade désordonnée, capable de mettre à bas un empire. Des civilisations entières ont été mises à mal par un Waaagh ! débutant par le vol du déjeuner d'un orruk par un autre orruk, l'incompréhension d'une bonne insulte ou l'observation d'un nuage d'une forme étrange dans le ciel.  

Version du 15 mars 2021 à 17:41

La puissance du rugissement de la race orruk partant en guerre fait trembler les Royaumes Mortels jusqu'à leurs fondations. Ces énormes guerriers à la peau verte vivent pour le combat. Pour eux, la guerre est la seule raison de leur existence. Ils vont frapper, écraser, trancher, taillader et donner des coups de tête à tout jusqu'à ce qu'il ne reste plus que les plus puissants guerriers face à eux, et ils apprécient chaque instant de cette boucherie.

Par chaque acte de violence qu'ils commettent, les orruks font une offrande au grand Gorkamorka, le dieu bicéphale de la Destruction. C'est lui qui a massacré les monstres les plus puissants des Royaumes Mortels durant l'âge des mythes, et c'est lui qui revigore la frénésie et la force des hordes d'Orruks grâce à la puissance primitive de l'énergie de la Waaagh ! Lorsque les orruks se rassemblent en grand nombre, quand ils élèvent leurs voix ensemble dans un hurlement pour exprimer leur soif de carnages, la puissante magie verte de Gorkamorka transforme cette populace désordonnée en une marée de muscles verts et d'armures qui balaie tout sur son passage.

A la tête des hordes de peaux vertes, les Ironjawz, de gigantesques orruks en armure qui sont la brutalité incarnée, s'avancent à grands pas. A leurs côtés, les Bonesplitterz hurlent et mugissent, orruks frénétiques dont l'énergie guerrière vibre au rythme de leurs cerveaux dérangés. Les orruks sont constamment sur le sentier de la guerre. Ils trépignent et crient d'impatience tandis que leurs chamans invoquent la colère du dieu peau-verte sur l'ennemi. Ils ne connaissent pas la peur et ne se lassent jamais dans leur quête sans fin de carnage.

Face à une telle agressivité, aucune civilisation ne peut résister bien longtemps. Il est presque certain qu'un jour, les Royaumes appartiendront aux Orruks.

La race Orruk

La WAAAGH !

Lorsque les orruks partent à la guerre, la sauvage croisade qui en résulte s'appelle une Waaagh ! - un mot qui ne peut être prononcé correctement qu'à un volume sonore assourdissant. C'est également le terme utilisé pour désigner le cri de guerre caractéristique des peaux vertes, un mugissement guttural et communautaire qui se fraie un chemin dans l'âme des orruks. Il ne s'agit pas tant d'un mot que du glas d'innombrables nations des Royaumes Mortels à travers le temps.

Tous les Waaaghs ! n'ont pas une même origine. Une Waaagh ! formée par des milliers de peaux-vertes hurlant à pleins poumons sera plus puissante et plus durable que le cri de guerre d'un petit groupe d'orruks indisciplinés. De même, la nature d'une Waaagh ! peut varier en fonction des orruks qui lui donnent vie par la parole. Le rugissement grave et profond des Ironjawz leur confère une force brute, car il faut bien qu'ils soient assez forts pour se mouvoir dans leurs imposantes armures. Ils sont tellement revigorés que leur style de combat - qui peut se résumer à la charge d'un bélier - leur permet de percer les murs de boucliers les plus solides et de briser des membres de leurs mains gantées, comme s'il ne s'agissait que de vulgaires brindilles.

Le cri de guerre des clans Bonesplitter transmet aux orruks une énergie quasi-frénétique. Cela les pousse à aller de l'avant, leur conférant une férocité et une endurance suffisantes pour découper l'ennemi en faisant pleuvoir les coups, ou pour charger les bêtes colossales de la savane primordiale de Ghur. De même, tous les Waaagh ! ne sont pas lancées volontairement. Les peaux vertes sont des créatures agissant à l'instinct et à l'émotion plutôt que dans la cadre d'un plannification minutieuse et d'une logique militaire. Lorsqu'un orruk se met en tête d'en frapper un autre, même s'il ne s'agit à l'origine que d'une querelle pour un morceau de viande humaine, la bagarre qui en résulte peut se transformer en une véritable mêlée générale. Cela peut alors déclencher une marée montante d'agressivité qui voit l'orruk le plus grand et le plus laid rassembler ses compagnons en un simulacre de formation militaire et la diriger vers la forteresse non-peau verte la plus proche, à la recherche d'un "vrai combat". Avant même que vous ne le sachiez, les hordes sont une fois de plus en marche.

Lorsque la voix des clans s'élèvent comme un seul orruk, leurs différences culturelles sont mises de côté, et ils deviennent une pure expression de l'orgueilleux et de la féroce de leur race. C'est c'est ce que l'on appelle une "Grande Waaagh !", un ouragan d'énergie belliqueuse qui met les Ironjawz et les Bonesplitterz dans un tel désir de combat qu'ils peuvent briser une armée ennemie en une seule charge. Parfois sous l'influence de leur fureur, la terre elle-même s'anime, se disloque, les arbres se déracinant et le ciel virant au vert vif. Choisir le moment de déclencher le Waaagh ! est un paramètre majeur de l'art orruk de commander, et il n'y en a pas de chef plus doué pour cela que Gordrakk, le Poing de Gork. La Grande Waaagh ! de Gordrakk est la plus puissante de toutes. Il peut susciter une soif de combat non seulement chez les peaux-vertes mais aussi parmi les tribus d' Ogors, de gargants et de Troggoths, unissant ainsi les hordes sauvages en un seul assaut cataclysmique.

Les clans de guerre des orruks sont semblables à un gros poing vert qui s'abat chaque jour sur les entrailles des Royaumes Mortels. Adeptes de Gorkamorka, le dieu de la violence destructice et primitive, ils se battent uniquement mûs par un plaisir sauvage. Ironjaw et Bonesplitter forment un raz-de-marée de violence qui peut réduire en miettes des civilisations entières.

Tout commence par un grondement lointain et un sentiment de malheur imminent. Lentement, cette rumeur se transforme en un bruit sourd, comme celui d'une émeute ou de la première charge d'une bataille dans le lointain. Une odeur nauséabonde flotte alors dans le vent, terreuse et mûre, emplie de relents de sueur. Puis les clans de guerre apparaissent enfin sous la forme d'une horde de monstruosités musclées et brutales déjà lancées à pleine vitesse.

Un sentiment d'effroi primitif s'empare de l'âme de ceux qui leur font face tandis que l'œil est attiré par une centaine de visions meurtrières, toutes plus effrayantes les unes que les autres. Des carcasses blindées brandissent d'immenses haches à deux mains, des guerriers frénétiques aux couleurs de la guerre vives chevauchent des sangliers hérissés, des chamans baragouinent et hurlent en vomissant des ectoplasmes verdâtres et des chefs de guerre massifs se tiennent au sommet de colossales bêtes écailleuses qui font trembler le sol sous leurs pas. C'est la marche des orruks, une force élémentaire inarrêtable qui écrase tout sur son passage.

Les représentants de la race des peaux-vertes sont très nombreux et d'une grand variété, allant de petits créatures de la taille d'une belette à des mégabosses de trois mètres, presque aussi larges qu'ils sont grands. Les plus connus parmi des peaux vertes sont les orruks. Dire que les orruks sont des créatures guerrières revient à dire que les enfers de la bordure extérieure d'Aqshy peuvent être un peu chauds. Ces créatures brutales sont obsédées par la bataille ; ce sont des dévots du dieu de la destruction, pétris de force brute et d'ignorance, craints à travers les Royaumes Mortels pour leur sauvagerie brute et leur soif implacable de violence en tout genre. Pas une seule terre, pas un seul continent, ni même le sol de l'Azyr céleste, n'a été épargné par leurs leurs saccages destructeurs. Les Orruks sont prompts à la colère et encore plus rapides à l'escalade. Quand ils se combattent, ils ressentent un sentiment de joie sauvage qui les fait vibrer et les pousse à de plus grands actes de violence encore. Les Orruks se nourrissent de conflits, devenant plus grands et plus forts à mesure qu'ils combattent. Leur culture est robuste et forte, grossière et primitive méritocratie que tous les Orruks comprennent instinctivement. Si un orruk sent qu'il est un meilleur candidat au pouvoir qu'un autre, il peut simplement défier son chef en combat singulier - et si sa supériorité est clairement établi, il prend sa place. Bien sûr, ce système brutal comporte un risque certain. Risque, qui empêche la race entière de s'autodétruire : un orruk qui lance un défi au chef a intérêt à être sûr de pouvoir l'emporter, car s'il n'a pas la puissance nécessaire, sa vie sera brutalement écourtée.

En apparence, un orruk a une apparence intimidante. Sa mâchoire avancée est remplie de crocs jaunes dentelés parfaits pour déchirer la viande. Sa peau varie du vert olivâtre à l'émeraude foncée, selon le royaume et la région de naissance, mais elle est toujours dure et coriace, infestée de tiques et couvertes de cicatrices bien visibles. L'orruk est trapu, la colonne vertébrale courbée, ce qui lui confère un centre de gravité bas. Cela rend les orruks stables et difficiles à abattre. Des yeux rouges porcins brillent sous son front lourd, et la puanteur de la nourriture pourrie s'échappe de sa bouche lorsqu'il crie, jure et mugit dans le langage rude et utilitaire de son espèce. Les Orruks portent souvent des armures de métal ou d'os, liées par du cuir et des tendons solides sur leurs épaules musclées. Très courants, les trophées sont portés pour mettre en avant la supériorité d'un individu dans les combats qu'il a menés, en particulier contre de grands monstres ou des ennemis puissants. Tous les orruks aiment se vanter et la plupart apprécient les "trucs brillants". comme une magpie, même s'ils ne comprennent pas vraiment comment elle fonctionne. Bien qu'ils méprisent la civilisation et le savoir, il serait faux de dire qu'ils n'accordent aucune valeur aux livres, aux parchemins et aux bibliothèques. Après tout, le papier fait toujours un combustible efficace quand il s'agit de brûler les villes.

Le tourbillon de violence qui caractérise une invasion orruk prend la forme d'un vacarme assourdissant de mugissements, de cris, d'un fracas tonitruant. Cela attire généralement encore plus d'orruks au même endroit, attirés par la promesse d'une bonne bagarre. Comme une pierre lancée qui déclenche une avalanche, la première étincelle de violence se transforme en une croisade désordonnée, capable de mettre à bas un empire. Des civilisations entières ont été mises à mal par un Waaagh ! débutant par le vol du déjeuner d'un orruk par un autre orruk, l'incompréhension d'une bonne insulte ou l'observation d'un nuage d'une forme étrange dans le ciel.

Les orruks sont incroyablement difficiles à éradiquer d'une zone une fois qu'ils l'ont infestée, surtout si cette région comporte de nombreuses grottes, fissures et endroits sombres où ils peuvent faire des petits. Les érudits d'Hysh pensent que lorsqu'un orruk est tué et que son cadavre pourrit dans les bonnes conditions, il se transforme en une gelée fongique. Celle-ci se répand alors dans la terre en de fins et blanchâtres fibres, nourries par les nutriments et le pouvoir magique inhérent au royaume lui-même. De ce cocon de chair verdâtre naissent les jeunes de la race, luisants et pâles. Rongeant leur enveloppe pour se libérer de la gelée charnue de leur géniteur, ces horreurs aux crocs aiguisés se glisseront dans un endroit sombre et humide, leurs yeux rouges brillant dans l'obscurité de la fissure ou de la crevasse où ils ont trouvé refuge... Ils survivent alors en se nourrissant de la vermine des cavernes et en se combattant parfois les uns les autres, jusqu'à ce qu'ils soient assez grands, verts et musclés pour chasser une véritable proie. Se déplaçant continuellement, ils rejoignent le premier clan de guerre qu'ils recontre en tant que "yoofs". En peu de temps, les jeunes orruks deviennent des guerriers à part entière, prêts à se battre et à mourir à la moindre provocation. Il semblerait que la magie du Waaagh ! accélère ce processus ; si une masse de cadavres d'orruks tombés au combat est laissée à l'ombre suffisamment longtemps, celle-ci peut devenir une sorte de terreau, donnant naissance à une nouvelle génération d'horreurs vertes psychotiques bientôt prêtes pour un nouveau conflit d'envergure colossale.

Lorsqu'une Waaagh ! progresse, elle s'apparente à une catastrophe naturelle. Les marées de brutes à la peau verte déferlent sur les contreforts de la civilisation, les réduisant en ruines par leurs assauts dévastateurs. Le sol tremble comme s'il était effrayé par le grondement des pieds ferrés, l'air s'emplit d'un vacarme tonitruant, des gouffres et des fissures s'ouvrent comme si la terre elle-même était déchirée par la force anarchique de l'énergie Waaagh ! Les orruks en masse ne se soucient pas du tout de savoir s'ils se battent pour abbatre les forces de l'Ordre, du Chaos ou même de la Mort - ils démoliront le Dreadhold d'un tyran du Chaos ou une forteresse de morts-vivants érigée à la suite d'un nécro-séisme aussi joyeusement qu'ils mettront à sac la cité nouvelle d'un LordCastellant.

Il y a deux raisons principales à cela - si elles peuvent être considérées comme des raisons - pour lesquelles les orruks causent des destructions à grande échelle. La première étant que les orruks pensent qu'ils sont faits pour se battre et gagner. Peu importe qui, comment, où, quand, pourquoi ils combattent, ni même quels outils de guerre ils utilisent. Tant que quelqu'un reçoit une bonne raclée, les orruks sont satisfaits. Ensuite, les orruks méprisent la faiblesse, surtout cette forme de faiblesse qui cherche à fabriquer sa une propre force d'une manière qu'ils ne comprennent pas. Bien que certains orruks puissent faire preuve d'une grande ingéniosité lorsqu'il s'agit de créer de nouvelles façons de se frapper, matraquer ou d'empaler leurs victimes, ils considèrent les armes à poudre noire, les murs de châteaux bien faits et les machines volantes des duardins comme de la " triche ". Ils méprisent toutes les méthodes par lesquelles les plus petits qu'eux tentent de se hisser au sommet alors qu'ils devraient être violemment remis à leur place. Il s'agit d'une simple vérité culturelle, qui permet aux Orruks de prospérer, surtout à Ghur où ce credo définit le paysage même du royaume. Les Orruks ne veulent rien de plus que détruire la fausse puissance des autres nations jusqu'à ce qu'aucune pierre ne se dresse au-dessus d'une autre. Ils détruiront les gadgets, les béquilles et les accessoires de la civilisation, car ceux-ci compliquent la vérité la plus fondamentale de la réalité : la force fait loi.

Sources

  • Destruction Battletome - Orruk Warclans

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