Karl-Franz Holswig Schliestein
- « Si nous mourons, ce sera en brandissant nos épées, car il n’y a pas de meilleure mort pour un guerrier. Nous irons nous asseoir au banquet de Sigmar comme les héros des temps anciens et nos noms seront mémorisés dans les chansons de notre peuple jusqu’à la fin des temps ! »
- - Discours de Karl Franz à ses hommes, avant d’engager la troisième Bataille du Col du Feu Noir
L’Empereur actuel est Karl Franz (de son nom complet « Karl-Franz Holswig Schliestein »), Prince d’Altdorf et Comte Électeur du Reikland. Il fut élu Empereur en 2502 dans toute la vigueur de sa jeunesse, l’Empire connaissait une période de paix et de stabilité relatives. Cependant, le nouveau souverain savait que cette situation ne durerait pas et qu’il lui faudrait tout son talent de général et d’homme d’état pour protéger son peuple et ses domaines.
Sommaire
Le Général[modifier]
Souhaitant affirmer la puissance militaire de l’Empire durant son règne et bien montrer à ses voisins qu’il n’était pas homme à se laisser faire, l’Empereur décida qu’une démonstration de force ne pourrait que renforcer sa position.Depuis la Grande Guerre Contre le Chaos, le nombre d’Hommes-Bêtes et d’adorateur du Chaos n’avait cessé d’augmenter. Les conseillers de Karl Franz lui apprirent qu’au nord, les Vents de Magie soufflaient à nouveau avec force. Cela prendrait quelques années ou plusieurs décennie, mais les armées du Chaos reviendraient fatalement, poussées par l’expansion des Désolations du Chaos. Les pillards nordiques, devenu plus hardi les années passées, avaient causé des ravages chez les peuplades habitants les rivages de la Mer des Griffes, détruisant des villes entières et capturant le bétail et les femmes. En réponse, le premier acte de Karl Franz fut de marcher vers le nord à la tête d’une armée pour renforcer celle de Theodoric Gausser, Comte Électeur du Nordland. Gausser n’avait aucun moyen de prévoir où les nordique frapperaient la fois suivante, mais l’Empereur avait avec lui quelques-uns des plus puissant sorcier du Collège Céleste, dont les membres ont le pouvoir lire l’avenir dans les astres.
Lors de l’attaque suivante des nordiques, les pillards furent accueillis par des salves de balles et de carreaux d’arbalète tirées par des soldats soigneusement dissimulés et leur navire furent coulé par des tirs de canons d’une précision effrayante. Des centaines de Maraudeurs moururent sans combattre, leur corps entraîné au fond de la mer par leur lourd hauberts, et ceux qui parvinrent à atteindre le rivage étaient attendus par des rangs discipliné d’épéistes, de lanciers et d’hallebardiers. Les pillards furent massacré jusqu’au dernier et l’Empereur lui-même mena la charge contre l’ultime mur de boucliers ennemis.
Depuis son élection, Karl Franz collectionna victoires et conquêtes, prenant le commandement de ses troupes quand cela était possible, brandissant Ghal Maraz, le légendaire marteau de Sigmar offert par le Haut Roi Kurgan Barbe de Fer il y a plus de deux milles ans. Ce fut lui qui mena la charge décisive de la Reiksguard contre les chevaliers Bretonniens à la bataille de Norduin. Sur les Plaines de Sang, le courage de l’Empereur permit aux lignes impériales de tenir face à l’attaque enragée des Orques. Contre la horde chaotique de Morkhal-hai le Sauvage, il mena ses Joueurs d'Épée en plein cœur de l’armée des Maraudeurs nordiques et brisa le crâne du général adverse avec Ghal Maraz.
L’Empereur Karl Franz se rend souvent au combat monté sur Griffe Mortelle, le Griffon qu’il a lui-même élevé depuis son plus jeune âge. Un lien peu commun existe entre cette bête et son maître, forgé au cours de nombreuses années.
À mesure que les années passaient, l’Empire continua de gagner en pouvoir et en influence, et Karl Franz engagea d’importants chantiers pour améliorer le sort de ses sujets. Kurt Helborg accomplissait la volonté de l’Empereur, menant les armées de son suzerain au combat contre des nombreux ennemis : les bandits Ogre du Tyran Breaskus, les Peaux-Vertes des Tours Brisées et les horribles hommes-rats qui infestaient les Collines Hurlantes, site de la célèbre victoire de l'Empereur Mandred contre les Skavens.
L’Empereur en personne prit les armes en 2519 à la demande de Marius Leitdorf, Comte-Électeur d’Averland. Des rangers Nains avaient averti celui-ci qu’une imposante Waaagh! traversaient les Montagnes du Bord du Monde en direction de l’ouest et les forces d’Averland, mal entraînée et mal dirigée, ne suffirait pas à arrêter les Peaux-Vertes. L’armée de Karl Franz écrasa les Orques et laissa des garnisons pour aider les Averlanders à garder leurs frontières.
En dépit de l’aide qui lui avait été accordée, le Comte Fou d’Averland causa des problèmes à l’Empereur, défiant les autres Comtes-Électeurs, menant des campagnes insensées contre des ennemis imaginaires et, plus généralement, inquiétant ses voisins. Se rappelant la répression brutale de la célèbre Rébellion Halflings de 2502 et craignant que la situation dégénère, Karl Franz envoya son taciturne champion Ludwig Schwarzhelm pour qu’il fasse entendre raison au Comte-Électeur excentrique. Les ordres de Schwrazhelm étaient simples : il devait faire en sorte que l’attitude imprévisible de Leitdorf ne mette pas l’Empire en péril.
Ainsi, sous la direction ferme de Karl Franz, par l’intermédiaire de Ludwig Schwartzhelm, Marius Leitdorf nomma de nouveaux conseillers pour refréner ses pires excès. Revenu dans le giron des alliés dignes de confiance de l’Empereur, Leitdorf prévint sans tarder Karl Franz quand une nouvelle Waaagh! se déversa le Col du Feu Noir. Ce dernier répondit personnellement à son appel et partit affronter la horde de peaux-vertes. C’est avec une douleur sincère que l’Empereur fut témoin de la mort de Leitdorf des mains du seigneur de guerre orque. Au terme d’un combat singulier et épique, Karl Franz brisa le crâne de la créature - un monstre de presque trois mètres de largeur - avec Ghal Maraz, puis expliqua plus tard qu’il avait été guidé par l’esprit de Sigmar dans l’accomplissement de cet exploit.
L'Homme d'État[modifier]
On dit que l’Empereur Karl Franz est le plus grand homme d’état du Vieux Monde, maître incontesté des arts et des sciences, un innovateur en matière militaire et un valeureux guerrier. Grâce à ses efforts, l’Empire a prospéré sous son règne. L’École Impériale d'Ingénierie s’est développée, les Collèges de Magie ont gagné en puissance et l’armée a volé de victoire en victoire.Karl Franz a montré plus d’habileté et de caractère que ses prédécesseurs immédiats et il a tenu sa promesse d’établir un gouvernement fort. Sous sa férule, les Électeurs ont dû se mettre au pas et il a habilement su manœuvrer les cultes de Sigmar et d’Ulric dans leurs tentatives de remporter ses faveurs. Lorsqu’une crise survint entre le Graf Alberich Haupt-Anderssen du Stirland et Helmut Feuerbach du Talabecland, provinces ennemies depuis l’Âge des Trois Empereurs, les autres Comtes attendirent avec appréhension de voir quel camp Karl Franz allait soutenir. L’empereur se rendit à Talabheim pour négocier la paix entre les deux parties.
Ses talents d’orateur tout comme sa patience furent mis à rude épreuve pour résoudre cette crise, mais les deux rivaux finirent par se rendre à ses arguments et la guerre civile fut ainsi évitée. D’autre conflits larvés ont depuis été résolus par l’intervention de Karl Franz, aidé en cela par la présence peu rassurante de Ludwig Schwarzhelm. Le vue du champion personnel de l’Empereur, son Épée de Justice au clair, est en effet souvent suffisante pour rendre les Comtes-Électeurs plus conciliants.
Les experts et les érudits prétendent que Karl Franz est capable de maintenir l’ordre en forçant les différentes factions à passer des accords « réciproquement inacceptables par toutes les parties ». Grâce à sa compréhension supérieure des courants d’influence, l’Empereur a remporté de nombreuses victoires en accordant aux personnes non pas ce qu’elles désiraient mais plutôt ce qu’elles ne voulaient pas que d’autres obtiennent. C’est en utilisant de semblables tactiques qu’il a réussi à convaincre les guildes d’Altdorf de signer la célèbre "Convention sur les Miasmes" de 2506 (par laquelle elles sont tenues de verser d’énormes amendes et des frais exorbitants), non pas parce qu’elles croyaient au concept de la propreté d’Altdorf, mais parce qu’elles espéraient que cet accord ruinerait leurs rivales.
Un autre épisode notable fut le moment où les ambitions territoriales pour le moins agressives du Comte du Nordland à l’égard de la province voisine du Hochland furent contrées par l’intervention du Patriarche Suprême des Collèges de Magie, Balthasar Gelt, et ce à la demande de Karl Franz. Gelt se rendit au château de Salzenmund, demeure de Théodoric Gausser, Comte Électeur du Nordland, en tant qu’ambassadeur de l’Empereur. Grâce à ses pouvoirs, Gelt transmuta secrètement l’or destiné à la solde des armées du Comte en plomb. Les mercenaires et les soldats refusèrent de se battre sans être payés et la guerre civile put ainsi être évitée. Dès qu’il découvrit ce qui était arrivé, Théodoric Gausser dégaina son Croc Runique, bien décidé à décapiter le sorcier, mais il n’y parvint jamais, le Patriarche Suprême ayant sagement choisi de fuir promptement le Nordland sur le dos de son Pégase.
Ainsi, en homme d’État éminent, puissamment épaulé par d’excellents conseillers, Karl Franz a réussi à manœuvrer cet Empire indiscipliné au travers de nombreux dangers. Sans lui, comme le disent de nombreuses personnes, l’Empire se serait écroulé sous la puissance de la Tempête du Chaos. Dans l’état actuel des choses, cette nation indocile a été gravement blessée mais elle reste debout.
- Meneur d’Hommes : La présence charismatique de l’Empereur et son courage extraordinaire remontent le moral des troupes et inspirent au plus humble soldat des actes d’héroïsme.
- La Reiksguard : Karl Franz est protégé par l’ordre des Chevaliers de la Reiksguard dont il est le commandant suprême.
- Karl Franz possède les Objets Magiques suivant :
- Ghal Maraz : Ghal Maraz est le marteau mythique de Sigmar, l’un des plus puissant artefacts magiques de ce monde. Cette arme runique est le symbole de l’office de l’Empereur depuis la fondation de l’Empire.
- Croc de Dragon, le Croc Runique du Reikland : En tant que Comte Électeur du Reikland, c’est le droit le plus strict de Karl Franz que de porter cette épée au combat. Choisir le Croc Runique est un signal politique, à savoir que c’est pour sa province qu’il accomplit ses actions, et non au nom de l’Empire dans son ensemble.
- Sceau d’Argent : Après la Grande Guerre Contre le Chaos, le sorcier de combat Frederick von Tarnus forgea une protection magique pour Magnus le Pieux. Ce diamant brillant enchâssé dans un disque d’argent est aujourd’hui suspendu au cou de l’Empereur Karl Franz et le protège des pires coups et sortilèges.
Ascendance[modifier]
Karl-Franz 1er, Empereur | Père : Luitpold 1er Ferrand, Empereur |
Grand-père paternel : Mattheus II, Empereur |
Arrière grand-père paternel : Matthias IV, Empereur |
Arrière grand-mère paternelle : | |||
Grand-mère paternelle : |
Arrière grand-père paternel : Frederik V, le Brave | ||
Arrière grand-mère paternelle : | |||
Mère : |
Grand-père maternel : |
Arrière grand-père maternel : | |
Arrière grand-mère maternelle : | |||
Grand-mère maternelle : |
Arrière grand-père maternel: | ||
Arrière grand-mère maternelle : |
Pendant La Fin des Temps[modifier]
Karl Franz Ascendant, l’Empereur Restauré[modifier]
Peu comprennent à quel point les liens qui préservent l’Empire de la dissolution sont fragiles. Le sujet est tabou, même à la cour impériale. Les cartographes sont tenus au secret, les prêtres obéissent font vœu de silence en ce domaine, et les Comtes Électeurs se garent de la terrible vérité en revêtant leur armure d’arrogance. Mais le fait est là : les cités de l’Empire ne sont que des îlots dans une mer de forêts hantées. Si les forces des ténèbres attaquaient en même temps, le monde des hommes serait totalement détruit. Seuls les règnes de fer des Empereurs Griffons assurent l’unité de la nation et la cohésion des provinces. Des siècles durant, la lignée de Karl Franz a engendré des hommes d’état capables de tenir ce rôle. Or, le dernier d’entre eux, l’incomparable Karl Franz, a disparu.Lors des événements tumultueux de l’automne et de l’hiver 2524, l’Empereur Karl Franz emmena la majeure partie de ses bataillons pour aller renforcer les défenses de l’Empire à l’est du Talabecland. Dans l’ombre du Bastion Doré de Balthasar Gelt, les régiments disciplinés de Karl Franz s’employèrent à combattre les hordes d’adorateurs barbares du Chaos, d’infâmes Morts-Vivants et de Démons abjects. Luthor Huss, le Prophète de Sigmar, menait des osts de Flagellants contre les adversaires les plus terrifiants, au côté de son protégé Valten, un forgeron guerrier en qui beaucoup voyaient la réincarnation de Heldenhammer. L’Empereur nettoyait les cieux des monstres ailés avec son imposant Griffon, Griffe Mortelle, tandis que ses précieux officiers et fidèles champions Kurt Helborg et Ludwig Schwarzhelm dirigeaient les manœuvres des forces au sol contre les hordes de Nordiques. Les Grands Maîtres envoyèrent dans la mêlée toutes les colonnes de leurs Ordres de Chevalerie, chaque formation caparaçonnée abattant cinq fois son propre nombre, et Karl Franz prit lui-même la tête de la Reiksguard lors de la charge la plus glorieuse de toutes. La terre boueuse se teinta du sang des Nordiques, et l’espace d’un instant, il sembla que l’Empereur pourrait arracher la victoire.
Puis la tragédie survint. Alors qu’il coordonnait ses armées depuis les cieux, Karl Franz dut livrer un duel aérien contre l’épéiste Vampire Walach Harkon, le Dragon de Sang vêtu de plates fondant sur lui sur le dos d’une monstruosité sans nom, faite de chair morte et d’ailes en lambeaux. L’issue du combat eût été différente si Karl Franz avait eu Ghal Maraz, car jadis le marteau de Sigmar avait eu raison de Nagash lui-même. Mais l’Empereur avait confié l’artéfact à Valten afin d’asseoir la réputation de Heldenhammer ressuscité du jeune homme. Même si l’Empereur avait débuté son entraînement à l’escrime dès qu’il avait su marcher, et même s’il maniait une des puissantes reliques qu’étaient les légendaires Crocs Runiques, son adresse pâlit face à la maîtrise du seigneur Mort-Vivant. Le Vampire passa Karl Franz au fil de sa propre lame enchantée, blessant grièvement Griffe Mortelle au passage, et l’Empereur et sa monture plongèrent vers le sol, derrière les lignes des envahisseurs.
Miraculeusement, Karl Franz survécut à sa mésaventure. L’intervention de Griffe Mortelle le sauva - et c’était loin d’être la première fois - en se disloquant l’épaule pour amortir la chute de son cavalier. Une masse de chiens de Norsca fut sur Karl Franz en quelques secondes, et bien qu’il souffrît de plusieurs fractures et d’une plaie béante au thorax, il replongea dans la bataille. Le Croc Runique s’abattait et se plantait, le sang giclait en gerbes abondantes comme Karl Franz repoussait ses persécuteurs avec un rugissement. Griffe Mortelle reprit conscience, et les deux compagnons blessés claudiquèrent jusqu’à l’abri d’un bosquet voisin. Ils luttèrent encore contre des guerriers, des Trolls et des Enfants du Chaos, entre autres horreurs mutantes. Ils finirent par s’échapper dans les bois en profitant de la confusion générale et du couvert de la nuit.
L’esprit de Karl Franz était consumé par la frustration en songeant que ses troupes se trouvaient à des milles de là, privées de sa présence. Au lieu de leur donner espoir, il avait abandonné ses hommes, qui subodoreraient qu’il avait péri au combat. C’était une pensée bouleversante, mais Karl Franz n’avait pas le choix. Alors qu’il se faufilait dans les bois, il abattit les bandes ennemies envoyées pour le retrouver, cheminant lentement mais sûrement vers l’ouest, vers son trône. Ignorant le sort de ses armées, mais espérant que Huss, Schwarzhelm et Valten les préserveraient, l’Empereur entamant son périple laborieux vers Altdorf, accompagné d’un Griffe Mortelle boîteux. Le temps jouait contre lui, car si la nouvelle de sa chute se répandait, l’Empire s’effriterait sous l’effet de la division des Comtes Électeurs qui avaient toujours cherché à le dominer.
Karl Franz n’était pas seul à redouter une telle scission. Le Reiksmarshall Kurt Helborg, un homme doué d’un intellect aussi acéré que sa lame, savait qu’avec la disparition - ou pire - de Karl Franz, l’Empire était sur le fil du rasoir. Il réquisitionna le Pégase de Janosch Feldtstiel, un de ses officiers subordonnés, et consentit un immense sacrifice pour un homme issu de la noblesse d’épée. Jurant de voir l’Empire l’emporter quel qu’en fût le coût, il laissa le commandement des armées à Schwarzhelm, son rival de toujours, et s’envola pour Altdorf. Toutefois, Helborg était un guerrier, pas un homme d’état, et son habileté à la cour apparut comme émoussée comparée à la diplomatie aiguisée avec laquelle Karl Franz gouvernait.
Pendant ce temps, dans la Grande Forêt, l’Empereur suivait sans le savoir un chemin à peu près parallèle à celui de ses armées qui retournaient à Altdorf. La guerre dans l’est avait connu une conclusion victorieuse, encore que le prix en vies humaines fût exorbitant. Ludwig Schwarzhelm et Kurt Helborg envoyèrent tous deux des équipes de secours à la recherche de l’Empereur, archers et chasseurs bravant les embuscades en ratissant routes et sentiers.
Près d’un an passa avant qu’on retrouve Karl Franz - non par un agent quelconque de la couronne, mais par le Patriarche Suprême élu à la suite de la disgrâce du traître Balthasar Gelt. Gregor Martak, un Sorcier d’Ambre aux capacités hors pair, entendit parler d’un homme et d’une grande bête blessée, dotée d’une tête d’aigle et d’un corps de lion, qui traversaient l’Empire. Martak se hâta de partir à leur rencontre, et effectivement, il trouva Karl Franz qui se traînait péniblement en direction de la capitale. Martak soigna Griffe Mortelle et fit de son mieux pour panser les blessures de l’Empereur. Les deux héros revinrent à Altdorf, juste à temps, car les forces du Chaos n’étaient pas restées inactives, et les mâchoires d’un piège gigantesque se refermaient rapidement. Ce fut le retour opportun de Karl Franz qui sauva la cité de la destruction. Néanmoins, dans son for intérieur, l’Empereur croit que ce n’est pas lui qui a sauvé l’Empire, mais une puissance magique, d’origine divine, dont il a été l’instrument et qui continue de le fortifier…
Médias externes[modifier]
Sources[modifier]
- Livre d'Armée de l'Empire, V7
- La Fin des Temps - Glottkin