Culte de l'Illumination

De La Bibliothèque Impériale
Cultistes du Culte de l'Illumination
Au sein des grandes villes de l’Empire, hommes et femmes se rassemblent pour célébrer la musique, la peinture, les lettres et l’architecture, et présenter leurs oeuvres en toute innocence, feignant de faire passer l’art avant tout. Au même moment, un ordre parallèle regroupant des personnalités puissantes et influentes se retrouve en secret pour observer ces rassemblements, offrant leur soutien à leurs artistes préférés. Ces groupes semblent travailler de concert pour promouvoir la beauté et le plaisir que représentent ces arts, mais cette façade n’est en fait qu’un masque cachant de bien plus sinistres desseins.

Le culte de l’Illumination est une fraternité occulte oeuvrant pour le bien de ses membres et l’avancement de leurs carrières. Ses membres sont d’importants acteurs de la vie politique et artistique qui ont choisi de commettre des actes abjects au service de Tzeentch et Slaanesh afin d’atteindre tout ce que leur promet le culte: pouvoir, argent et renommée. Nombreux sont ceux qui se sont hissés à d’importantes positions au sein de l’Empire grâce aux machinations du culte et ceux qui cherchent à s’y opposer ouvertement survivent rarement à cette expérience. Tous les membres de son cercle intérieur jouissent d’une grande célébrité dans leur vie publique, même si la plupart des initiés ignorent en fait qu’ils y appartiennent. Les ordres fraternels du culte regroupent à la fois des aspirants et des personnalités réputées (ou conspuées) du monde de la politique et de l’art travaillant ensemble à promouvoir la notoriété de ses membres et à perpétuer son héritage.

Le culte est présent à travers tout l’Empire, opérant à Nuln, Altdorf et Talabheim ainsi que dans les villes de plus petite taille et les centres administratifs. Middenheim, constamment agitée par les luttes et la dévastation, constitue en revanche un piètre terreau pour la vie artistique et alors même que de braves hommes et femmes luttent pour le bien et la justice, les membres du culte de l’Illumination ne se battent jamais que par amour-propre et pour leur place dans l’Empire.

Au niveau d’initiation le plus bas, les cultes semblent être distincts et uniques. Leurs membres sont habituellement amenés à croire qu’ils rejoignent une fraternité œuvrant pour le bien de leur profession et les deux ordres sont utilisés pour financer d’autres campagnes et projets dont ils n’ont pas connaissance. Les membres plus hauts placés de l’aile politique fournissent du travail aux artistes, les artistes reconnus prennent part à des campagnes de petite taille et les membres ayant acquis une certaine renommée personnelle au fil du temps sont invités à gravir les échelons de l’organisation. Une fois la nature blasphématoire du culte révélée, ils se voient offrir la possibilité de passer au service des Dieux Sombres ou de devenir les victimes du prochain sacrifice. Presque tous choisissent de se prosterner devant leurs nouveaux maîtres. Aux échelons les plus élevés se trouvent des hommes prêts à tout pour obtenir pouvoir et renommée. Ils ont fait ce pas impardonnable qui mène à la vénération des Puissances de la Ruine: Tzeentch et Slaanesh. Les politiciens et les marchands font appel à Tzeentch pour favoriser leur carrière, tourner les intrigues à leur avantage et attirer la chance. Les chanteurs, les acteurs et les écrivains sollicitent la bénédiction de Slaanesh dans l’espoir de recevoir un charme ou des talents aberrants qu’ils utilisent pour convaincre le public de suivre ses instincts les plus vils et d’adopter la vie hédoniste qu’ils font passer pour de l’art.

Tzeentch est vénéré en tant que Maître du Hasard et Grand Conspirateur. Les hommes politiques et personnalités publiques qui se mettent à son service ne cherchent rien de plus que l’argent et le pouvoir que ses machinations peuvent leur offrir. Les artistes recherchent la bénédiction de Slaanesh pour apporter un plaisir que leur talent médiocre ne saurait autrement susciter. Sans cette bénédiction impie, ils connaîtraient la misère que leur promet leur statut d’auteurs ratés, de musiciens d’auberge ou de décorateurs intérieurs.

Afin de les recruter, on fait miroiter aux membres la possibilité d’appartenir à un ordre de pairs ainsi que l’opportunité de faire avancer leurs carrières, sans jamais mentionner qu’ils se ruent en fait à leur perte aux mains des Dieux du Chaos. Certains n’atteindront jamais un statut supérieur à celui de pion au service d’hommes plus puissants qu’eux sans rien apprendre de la véritable nature du culte, tandis que d’autres échouent et deviennent de nouvelles victimes dans les sacrifices du culte. D’autres, enfin, recevront de hideuses mutations pour avoir voulu outrepasser leur rang. Au sein du culte de l’Illumination, seules la patience et la prudence permettent d’obtenir les récompenses tant escomptées.

Histoire du culte[modifier]

Les rumeurs concernant la fondation du culte sont innombrables même parmi les membres de haut rang. En fait, divers mythes fondateurs sont entretenus afin de garder le mystère entourant les véritables origines de l’organisation. Ces subterfuges dissimulent tous la véritable identité d’un individu sinistre, Constance Drachenfels, qui sévit à une époque bien plus reculée que quiconque dans le culte ne se l’imagine.

Le Grand Enchanteur Constance Drachenfels créa le culte afin de servir ses machinations sans que personne ne puisse interférer dans celles-ci. À cette fin, il mit en place le premier des grands illuminateurs, Johannes Grauman « le Gris». C’est lui qui, à son tour, recruta les premiers membres du cercle de l’Omniscient, un groupe de nobles triés sur le volet.

En s’établissant à Altdorf, Johannes s’était assuré un accès direct à la noblesse qu’il désirait contrôler, mais il rencontrait encore des difficultés quand il fallait convaincre des personnalités de rang inférieur de rejoindre le culte. Celles-ci n’y voyaient aucun gain tangible et il leur répugnait de se soumettre à l’autorité d’une quelconque organisation et, à plus forte raison, ils rechignaient à l’idée de reconnaître celle d’un personnage qui se faisait appeler « le Gris». Johannes Grauman réunit donc le cercle intérieur afin de mettre en place de nouveaux rangs intermédiaires qui puissent servir à dissimuler la véritable nature du groupe aux recrues potentielles et les amener à servir les desseins du Chaos. De nombreux membres du cercle étaient au courant de l’influence exercée par l’art sur toutes les strates de la population et ils avaient bien compris l’importance que pouvait prendre une propagande parfaitement mise en oeuvre. En s’adjoignant les services de ces nouveaux porte-parole, le culte put alors recruter et contrôler les actions des hommes politiques, des nobles et des nantis en chantant leurs louanges ou en répandant de vilaines rumeurs et d’immondes mensonges. Johannes avait compris que les apparences pouvaient se substituer à la réalité et il put ainsi ajouter de nombreuses recrues de noble origine à son organisation. Le culte eut bientôt suffisamment de recrues pour pouvoir enfin remplir son véritable office: servir les intérêts du Chaos dans l’Empire.

Le Cycle du Patronnage[modifier]

Institué par Johannes Grauman dans les premières années du culte, le cycle du patronage permet aux membres de se servir les uns des autres à leur propre avantage sous le couvert d’un altruisme plaisant. De riches nobles et marchands appartenant au culte deviennent les mécènes de peintres, sculpteurs et musiciens qui ne sont pas encore dans le culte. Plus importante est la somme d’argent dispensée, mieux disposés ceux-ci se trouvent à chanter les louanges de leurs bienfaiteurs. De leur côté, les artistes de renommée appartenant au culte flattent et louent les nobles dont les carrières sont les plus prometteuses, exagérant leurs prouesses ou leur importance. En effet, la reconnaissance sociale acquise par le biais des arts se révèle toujours d’une aide précieuse dans les sphères les plus élevées de la société.

C’est par ce double mouvement d’argent et d’influence qu’est recruté un nombre toujours croissant de membres, remplissant les coffres du culte et augmentant le pouvoir exercé par le grand illuminateur et le cercle de l’Omniscient. Ce mécanisme permet en outre de contrôler la composition du culte pour l’adapter aux besoins du moment : si plus de nobles sont nécessaires, les artistes sont mobilisés pour les flatter et les recruter, et inversement.

Les jeunes nobles et les artistes débutants ont tous hâte de recevoir l’approbation et le soutien de ceux qu’ils admirent ainsi que de suivre leur exemple. Les membres du culte exploitent ainsi la naïveté de leurs protégés et apprentis pour les amener au culte. Le système du patronage exige de toute façon que tous ses membres contribuent au recrutement de nouveaux membres, sous peine de voir leur progression au sein de l’organisation indéfiniment arrêtée, ou pire encore. Les membres qui abusent de ce système en refusant de participer finissent toujours par disparaître un jour ou l’autre sans laisser d’autre trace qu’un cœur offert en sacrifice au prochain démon invoqué par l’ordre de l’Étoile.

Châtiments[modifier]

Rares sont ceux qui enfreignent les règles du culte, tant est universelle la certitude d’une punition immédiate. La plupart des membres comprennent quelles sont les conséquences de leur appartenance à une organisation secrète et les sombres origines du culte ne font qu’accentuer le besoin d’une telle discipline. Une amende est généralement exigée des membres de bas niveau si jamais ils mentionnent le groupe à un membre de leur famille. Les membres de plus haut niveau qui révèlent certains des sombres secrets de leur ordre sont immédiatement congédiés du culte et de leur existence terrestre. Si la plupart sont employés dans les sacrifices, certains sont cependant enfermés dans d’abominables conditions afin de rappeler à tous le prix de la trahison et manifester la fureur du culte. Quelques exécutions publiques ont vite fait de rappeler à l’ordre les membres du culte. C’est à la garde personnelle de l’illuminateur que l’on fait habituellement appel pour tous les châtiments qui ne requièrent que la force brute: meurtres, amputations, passages à tabac, etc. Les pires contrevenants ont eux la chance de se voir offerts en pâture à un démon. Les tentatives d’assassinat sont évidemment légion dans une telle organisation et le grand illuminateur a lui-même été la cible de nombre d’entre elles.

Structure[modifier]

Aucun temple, aucun édifice public ne clame l’existence ou les buts de l’organisation. Le culte est organisé selon une hiérarchie rigide dont le sommet se trouve à Altdorf en la personne du grand Illuminateur. Il forme, aux côtés de onze préfets, le cercle de l’Omniscient, dont les nouveaux membres sont tous élus en accord avec ses recommandations. Ceux-ci élisent enfin tout nouveau grand illuminateur parmi leurs propres rangs.

Le cercle comprend quatre divisions, toutes en charge d’un secteur particulier de l’Empire. Trois préfets supervisent Altdorf, trois ont la charge de Nuln, trois s’occupent de Talabheim et les deux restants exercent leur influence auprès des divers Comtes Électeurs de l’Empire. Le grand illuminateur représente quant à lui l’autorité suprême au sein du culte. Lui désobéir c’est inviter la colère des Puissances de la Ruine elles-mêmes et un châtiment impitoyable aux mains de sa garde personnelle.

Les onze préfets et le grand Illuminateur sont les seuls membres du culte à connaître l’identité de toutes ses recrues. Ils surveillent de près les recrues potentielles et d’encore plus près les malheureux individus qui ont déjà juré allégeance à l’organisation. À tout moment, ceux-ci sont en mesure de discréditer tout membre qui ne satisferait pas aux exigences du culte par le biais de faveurs accumulées au cours de leur longue carrière au sein de l’organisation. Après avoir enduré une tempête de scandales, le misérable individu bénéficie généralement d’une ultime opportunité de servir les dieux auxquels il a juré allégeance. Servir de sacrifice reste, après tout, la meilleure façon de se racheter aux yeux de Tzeentch et Slaanesh…

Divisions du culte[modifier]

Les membres progressent au sein du culte en passant par trois ordres correspondant chacun à un niveau différent de la hiérarchie.

Les Jeunes Bougies[modifier]

Cet ordre est réservé aux nouveaux initiés. Leur symbole est une bougie dont la mèche est encore intacte qu’ils portent sous la forme d’une broche attachée au revers de leur veste. Les Jeunes Bougies n’ont pas d’obligation particulière à l’égard du culte en dehors du versement d’une dîme annuelle établie sur la base d’un pourcentage de leurs revenus. Leur présence est requise lors de certains rituels qui se tiennent à des moments précis de l’année. La plupart d’entre eux ne voient de toute façon dans le culte qu’un moyen de faire progresser leur carrière dans une ambiance fraternelle. Les Jeunes Bougies ne sont au courant que de l’existence de trois rangs au-dessus du leur et ignorent tout du cercle de l’Omniscient et du grand illuminateur. Ils ne sont pas non plus introduits à la magie et aux rituels du Chaos que pratiquent le grand maître et ses supérieurs cachés et n’entendent jamais rien du discours que l’on tient sur eux à des niveaux plus élevés. Les Jeunes Bougies ne peuvent bien sûr pas se douter que le culte ne les emploie que comme moyens d’accroître sa propre puissance. Ils sont ainsi maintenus dans un état de satisfaction complaisante qui peut servir à attirer de nouvelles recrues et fortifie l’image du culte dans les cercles politiques et artistiques. Les membres de l’ordre des Jeunes Bougies sont divisés selon qu’ils proviennent du monde de l’art et de la politique et ne se réunissent qu’à l’occasion des jours de Grand Rituel. S’ils sont parfois recrutés pour leur talent, le culte s’intéresse plutôt aux désirs qui agitent ses membres potentiels, que ce soit la gloire, la richesse ou la soif de pouvoir. La hiérarchie pourra alors obtenir d’un artiste expérimenté qu’il prenne un débutant en apprentissage ou faire financer ses projets par un noble bien établi. L’argent dépensé au cours de ces campagnes est habituellement considéré comme un don fait directement au culte, contribuant à renforcer la stature des financiers au sein de l’organisation. Ceux qui ambitionnent de réussir en politique reçoivent le parrainage d’hommes d’État influents capables de leur apprendre à manipuler les ressorts du pouvoir ou reçoivent le soutien dont ils ont besoin pour prendre pied dans des bastions du pouvoir où n’est pas encore présent le culte. La plupart des Jeunes Bougies ne dépasseront jamais ce rang. Ils s’acquittent honorablement de leur tâche et contribuent à leur modeste manière au fonctionnement du culte, mais rares sont ceux qui font preuve du talent nécessaire pour progresser dans le culte.

L’ordre de l’Étoile[modifier]

Rares sont ceux qui progressent aussi loin dans les rangs du culte. Environ un membre sur dix seulement peut espérer être sélectionné pour recevoir cet honneur, accordé aux membres les plus prometteurs (et les moins encombrés de moralité) seulement. Chaque année, vingt noms sont lus à voix haute en présence de tous les membres du culte et proposés à la nomination. Ils sont ensuite envoyés en retraite et doivent endurer une journée de veille complète avant d’être présentés à l’ordre de l’Étoile pour apprendre la véritable nature du culte. Ils découvrent alors les autels consacrés à Tzeentch et Slaanesh ainsi que les sacrifices rituels consentis par les membres de l’ordre pour la réalisation de leurs plans. Il revient alors à chaque initié de décider de son sort : participer aux rites du culte ou en devenir la prochaine victime.

Le symbole de l’ordre de l’Étoile, une broche, est un diamant dont partent huit branches faites d’or, que ses membres portent au niveau du coeur. Leurs attributions varient grandement et peuvent inclure la gestion des affaires courantes du culte, l’exécution de ses plans, le recrutement des Flambeaux ou le travail dans les hautes sphères du pouvoir et nombreux sont ceux qui choisissent de se consacrer entièrement à leurs nouvelles fonctions au sein de l’ordre. L’ordre comprend en outre un sous-groupe entièrement consacré à la surveillance de ses membres et à la collecte d’informations. Ils conservent celles-ci soigneusement jusqu’à ce qu’une opportunité de s’en servir se présente, que ce soit afin de ruiner un rival politique ou d’humilier une Jeune Bougie trop zélée face à ses frères.

Les membres de l’ordre faisant preuve d’aptitudes hors du commun sont instruits dans les voies du Chaos pour pouvoir prendre part à la préparation des rituels secrets du culte. Des démons sont invoqués lors de ceux-ci afin de démontrer la puissance de l’organisation. Des prières sont adressées à Tzeentch et Slaanesh par leur intermédiaire et certains sont même prêts à courir le risque de subir de sévères mutations si cela peut leur donner accès à une puissance magique accrue dont ils peuvent user pour dominer le commun des mortels. Leur existence est dès lors gardée entièrement secrète et ils se cantonnent aux arrière-salles du quartier général d’Altdorf afin de mener à bien les machinations qui les occuperont pour le restant de leur vie. Les membres de l’ordre accordent aux récipiendaires de ces improbables bénédictions une place toute particulière: ce sont les authentiques élus des sombres maîtres du culte.

Le grand maître[modifier]

Les membres du culte ne sont au courant que d’une autorité qui règne au-dessus du cercle de l’Étoile: le grand maître du culte. Il est élu par les membres de l’ordre de l’Étoile et représente l’exemple le plus accompli de ce que doit être un membre du culte. Peu après son élection, celui-ci est présenté au grand illuminateur qui lui révèle alors son véritable rôle au sein de l’organisation, celui d’un dirigeant fantoche au service du cercle de l’Omniscient. Une fois encore, un choix est exigé de l’initié, mais la mort ne sanctionne cette fois pas le refus. Les pouvoirs du grand illuminateur lui permettent aisément de contrôler les esprits et celui-ci fera volontiers usage de son talent sur le grand maître si le besoin s’en fait sentir.

Le cercle de l’Omniscient, le grand illuminateur et sa garde personnelle forment un véritable culte dans le culte capable de manipuler l’ensemble des membres de l’organisation où qu’ils se trouvent dans l’Empire. Afin de conserver les secrets du culte, les membres du cercle se font passer pour des membres ordinaires de l’ordre de l’Étoile et évitent toute action d’éclat, feignant de ne s’intéresser qu’aux affaires ordinaires de l’organisation, sans jamais laisser paraître leurs véritables ambitions. Même dans les pires circonstances, leur manie du secret leur garantit la possibilité de s’enfuir et de pouvoir recommencer à partir de rien.

Personnalités[modifier]

Rares sont ceux qui soupçonnent la véritable étendue du culte. Le grand illuminateur actuel est Klaus von Talber, conseiller auprès de Berndt Wechsler, un noble de moyenne importance résidant à Altdorf. Les subterfuges de Klaus et son emploi systématique de la magie du Chaos font de lui le maître presque absolu des affaires du duc. Les membres de la cour se soucient assez peu de Wechsler, mais tous apprécient la présence rassurante de Klaus, toujours disposé à leur faire connaître les intentions de son employeur. Parmi les autres personnages de marque du culte figurent notamment le burgomeister Gerhard Rabe d’Averswald, le maître de la guilde des marchands d’Altdorf Norbert Cullen et le fameux ténor tiléen Iacoppo Cento. Membres de l’ordre de l’Étoile, ils ont tous énormément contribué au culte et acquis une importance considérable dans le monde depuis leur initiation.

Source[modifier]

  • Warhammer JdR - Le Compagnon