Don Lomente le chevalier fou

De La Bibliothèque Impériale
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Don Lomente après un terrible combat contre un moulin.


«Trop de santé mentale peut nous rendre fou. Car la plus folle de toutes les folies est de voir la vie telle qu'elle est et non telle qu'elle devrait l'être!»

Don Lomente


Personne ne connait la vraie identité de ce singulier individu ni si il est un noble ou un manant. Il parcourt les campagnes d'Estalie cherchant la gloire et pourfendant le mal. Si cela peut paraitre commun dans le Vieux Monde. Don Lomente dénote car il a tendance à voir le mal partout où il pose son regard, en particulier les moulins à vent.

Don Lomente est ainsi. Il souffre d'une sévère désillusion qui l'a mené jusqu'à la folie. Il se rêve en preux chevalier d'ascendance bretonnienne , errant dans les vastes terres de la péninsule en traquant les monstres dans la plus propre tradition chevaleresque.

L'accroche de Don Lomente à la réalité est plus que ténue. Il vit dans un monde féérique issus de ses propres songes, un lieu mythique dont il est le souverain. Et où il abat des géants, des dragons et toutes sortes de monstres contre-nature. Il est parti si loin dans ses délires que les horreurs du monde réel n'ont plus d'effets. Il semble suivre une routine de vie normale mais sur le champ de bataille son esprit se trouble dans des brumes insondables, un gobelin apparait comme un géant, un cheval comme un dragon et ainsi de suite. Peut-être observe-t-il les effroyables démons qui s'extraient des Royaumes du Chaos ! Ainsi Don Lomente ne discerne plus une vraie menace d'un danger mortel , ayant déjà passé une bataille entière à taillader des arbres sans défenses.

Son accoutrement peut au mieux être considéré comme comique. Il porte un ensemble hétéroclite et rouillé de pièces d'armures dépareillées qui jonchaient sûrement de vieux champs de bataille. Sa tenue est si absurde que pour couronner tout ça il a son propre blason peint sur un tabard élimé et sur sa lance.

Personne ne sait comment un tel énergumène n'a pas déjà été massacré lors d'un combat, comme si un destin exceptionnel lui était réservé et qu'il ne connaitrait pas de fin funeste tant qu'il n'était pas réalisé.

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